Tu souris,
Tu fais semblant,
Mais cette apparence,
Que tu hais tant,
Ne fait que te poursuivre...
Pour nourrir ton ego,
Rappelles toi,
Les mégots,
Que tu jettes fièrement,
Devant les gens qui passent...
Dans le miroir, le soir,
Tu te trouves moche,
Mais quel hasard,
Si tu prends tout le monde de haut...
Tu te flattes,
Sans succès,
Tente de retrouver les traits,
De ce qui s'appelle la perfection,
Mais si tu savais...
Ton visage,
Déformé,
Par les regards jetés aux gens que tu trouvent sans intérêt,
Mais si tu savais...
La clé du problème,
Ne réside pas dans le temps qui s'egrainent,
Mais dans ton orgueil bien trop gonflé,
Ta jalousie malsaine !
