Prologue

63 7 0
                                    

" - C'est un problème d'une urgence capitale."

Un premier homme, frappa la table du point, les sourcils  froncés, les dents serrés, il allait exploser.

"- Je ne pense pas que nous pouvons nous précipiter dans le jugement de cette tribu inconnue."

La jeune femme qui se tenait à ses côtés posa sa main sur son épaule, comme pour le résonner et l'empêcher de faire une erreur.

" -Mellusya te rend tu comptes qu'à n'importe quel moments ces créatures peuvent pénétrer dans notre cité et tous nous détruire ?

- Nous avons quelque chose qu'ils n'ont pas eux.

- Irenya ne sera jamais capable de leur nuire tu le sais aussi bien que moi.

- Oui mais s'il sent son danger Talyth lui n'hésitera pas.

- Donc tu serais prête à sacrifier des vies dont celle de ta fille ?

- Oui, nous n'aurons pas le choix s'ils attaquent."

Tous le monde dans la salle se tuent, beaucoup surpris des propos de cette femme, elle était serte, belle et envoûtante, mais présenté une absence totale de cœur. Son mari la regarda longtemps avant d'acquiescer son idée, après tout, elle avait raison, ils n'avaient pas le choix.

__________________________________

"- C'est incroyable.

- Oui père, mais nous devons nous méfier de ces personnes, nous ne savons pas quelle réaction ils vont avoir en voyant ceci.

- Je sais et connaissant l'âme de l'arbre ancestral, il n'a pas fait ceci pour des broutilles.

- Pense tu qu'ils nous attaqueront ?

- Peut être mais dans tout les cas nous les attendrons au tournant.

- Tu feras appel à Visère ?

- S'il le faut."

Les deux hommes se regardèrent longuement, puis le père pris son fils dans ses bras avant de lui chuchoter à l'oreille:

"Mon fils, vas-y, dans ces cités là bas. Conclu la paix et revient nous."

__________________________________

"- Oui père je resterai près de Talyth."

Il me fit un câlin avant de fermer la porte derrière lui, je m'avançais vers mon lit enlever mon manteau à cause de la chaleur de nos journée comparé à la froideur de nos nuits et je vis ce visage, dans ce miroir, dans mon miroir. M'avançant lentement, le voyant plus clairement. Mon miroir commença à briller fortement, je sentis des brises gelé toucher mon corps de plein fouet, le vent froid me fit fermer les yeux. Puis, brusquement, il cessa. Rouvrant doucement les yeux, je le vis.

"-Qui es-tu ?

- Ton parallèle."

Parallelism [EN RÉECRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant