Parallelism [EN RÉECRITURE]

2.

Un, deux, trois, quatre.... ces battements régulié et si familié, ces battements d'ailes en rythme avec le son de son cœur que je ressens au plus profond de moi, ce cœur qui bat ce calquant au rythme du miens. Je ressens notre lien, ce lien fort s'accentuant en sa présence. Je ressens ses émotions, ses envies, sa force, ses faiblesses comme ses craintes. Je suis lui, il est moi. Aargan était anxieux, je le savais, même s'il le cachait du mieux qu'il ne sache le faire avec sa fameuse figure impassible et son sourire en coin provocant qui me prouve que cet homme ne s'arrêtera donc jamais. Le sol bougea sous la venue lourde de mon âme sœur, ce frère de sans immense que moi seul puisse avoir, moi étant la seule gardienne de dragon encore en vie dans ce monde. Les muscle de Aargan ce sont crispé avec une légère chair de poule aux mouvements du sol puis à son souffle sur son dos. Je fixais mon frère des yeux, il faisait déjà de même de son côté. Je comprenais son regard sans même qu'il n'est à me parler.

"Retournez vous Aargan.

- Je ne suis pas sûr d'avoir envie d'affronter ce qu'il y a présentement derrière moi.

- Je vous ai dis de vous retourner.

- Oui madame la sauvage."

Aargan semblait s'être détendu, mais le léger, enfin pas vraiment, le grognement de mon frère le ramena rapidement à la réalité. Il se retourna tout de même et pu admirer mon deuxième. Cette magnifique bête ailée et écailleuses d'une couleur unique bien particulière représentant sa sagesse le rendant le plus unique jamais aperçu sur notre monde.

"Je vous présente Talyth, mon frère.

- Votre... Frère ?

- Oui mon frère.

- C'est spécial.

- Son apparence vous dérange ?

- Je suis juste surpris.

J'esquissais un sourire avant de rejoindre Talyth, je me laissait m'appuyer contre sa pattes. Il avança sa tête vers moi que je puisse poser ma mains dessus devant un homme qui visiblement ne pouvait plus cacher son étonnement ou même serait-ce maintenant de la peur ?

" Vous n'avez pas de frères chez vous ?

- Si mais pas de tel.

- À quoi ressemblent-ils ?

- Mon monde vous intéresse ?

- Quand mon père aura décidé de vous envahir et vous conquérir, je serais dans l'obligation de tout connaître.

- Charmand, mais dans ce cas là, si je suis destiné à vous servir, parlez-moi de vous.

- Ne rêvez pas trop, il vous fera tuer.

- De plus en plus joyeux.

- Je suis Irenya princesse des Cytalinn comme je vous l'ai dis, je suis la gardienne de Talyth.

- Que sont les gardiennes ?

- Des femmes.

- Plus précisément ?

- Des femmes avec des seins.

- Et avec un peu de sérieux ?

-Il ne peut pas avoir de gardien, une gardienne peut donner naissance à plusieurs enfants mais dès que l'un d'eux est une gardienne, la mère meurt.

- Pourquoi ?

- Les gardienne naissent avec un œuf de dragon, donc les deux dans le ventre de la mère. Il nous est impossible de faire sortir un œuf de cette taille par la voie naturelle et cela bloque l'enfant ce qui produit la mort de l'œuf, de l'enfant et de la mère. Nous sommes donc obligé d'ouvrir la mère par le ventre pour faire sortir ses enfant ce qui la tue mais sauve sa progéniture.

- Il n'y a aucun autre moyen ?

- Non. Nous les gardienne ne connaîtrons jamais nos mères.

- Vous êtes donc nombreux à être des gardienne et constitué cette race avec ces magnifiques bêtes.

- Non pas vraiment je suis la dernière encore en vie.

- Pourquoi ?

- Vous posez beaucoup de question.

- Vous m'interressez.

- Les gardienne sont puissante grâce a leur dragon. Beaucoup trop puissante pour être contrôlé. Certaine on semé le chaos dans nos villes et villages, causant des famines suites au perte agricole, à des baisses de population quand elles brûlaient les villages sur le dos de leur frère. Beaucoup ont été attrapé et exécuté, pendant que d'autre se massacré entre elle pour obtenir le pouvoir, de long siècle notre monde à été plongé dans le chaos et la crainte.

- Et vous, comment en êtes vous arrivé ici.

- Mon père avait attrapé ma mère, la dernière gardienne vivante, il a accédé au pouvoir grâce à cela, il l'avait tenu prisonnière elle et son dragon pour garder l'espèce en cas de guerre pour avoir un appuie de poids. Sauf que le dragon de ma mère est tombé gravement malade et n'allais pas s'en sortir, la mort du dragon signifié la mort de ma mère et de l'espèce. Il lui a donc fait un enfant et je suis née a tend.

- C'est spécial.

- C'est normal."

Je continuais de carresser la tête de mon frère pendant que Aargan me regardait silencieusement.

" Les gardiennes sont toutes aussi belle ?

- Ce sont des avances ?

- Peut être.

- Que comptez-vous faire maintenant que vous êtes ici et que vous savez que si l'on vous trouve vous serez tué ? Surtout que rien ne m'empêche de vous dénoncer là maintenant.

- Vous n'allez pas le faire.

- Et pourquoi donc ?

- Vous m'avez amené a votre dragon pour la simple et bonne raison de si j'allais vivre ou mourir.

- Continuez.

- Votre dragon vous conseille, surement un dragon assez sage d'ailleurs. Si j'étais une menace, il l'aurait senti et m'aurait surement tué sur place pour vous protéger, ce qu'il n'a pas fait, donc je présume que je dois avoir gagné un peu de votre confiance ou juste moins de méfiance ?

- Moins de méfiance.

- Bien que faisons nous maintenant.

- Rentrez chez vous.

- Mais je vous ai déjà dis que je ne pouvais pas ! Vous êtes vraiment une tête de mule !

- Je ne pourrais pas vous cachez de mon père vous savez ? Surtout avec votre apparence.

Il allait répliquer mais le son des cloche et des trompette ce fut entendre à la cités, suivis de cri et le bruit des soldat s'agitant. Je fit partir Talyth en repérage aérien pendant que je me redirigé vers la cité en quête de trouver le problème avec l'appuie de mon dragon tout en gardant Aargan a mes côtés. Jusqu'à ce que je vis cette chose, passer au dessus de ma tête.