"Tu souhaites réellement faire confiance à cette femme ?
- Elle nous serait d'une grande aide dans notre combat chérie.
- Je ne pense pas qu'elle trahira son peuple et son mari.
- Je suis prêt à prendre le risque.
- Pourquoi ?
- Car avec elle nous serons plus rapidement débarrassé de la vermine.
- Tu as raison."
J'embrassais cette femme qui faisait battre mon cœur pourtant bien mort, réveillant en moi le peu de sentiments humain qu'il me restait. Ma chère Mellusya.
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"- C'est immense.
- En effet.
- Tous ces livres ont été rédigé à la main par des gardienne ?
- Oui, mais seulement à partir de la naissance de la première, avant c'était les être simple.
- Je vois. Il y en a énormément.
- Je t'avoue que je n'ai moi même pas eu le courage de tous les lire.
- Quel livres dois-je prendre ?
- Tu ne liras pas le livre en entier je te rassure, mais c'est celui posé sur l'estrade au centre.
- Il est vrai qu'il est immense.
- En effet. C'est bie pour cela que tu ne liras que quelques chapitres.
- Lesquels ?
- 4.12.215.218.296. Ne t'en fais pas, ils sont assez bref et court.
- Bien."
Sans plus attendre, je me dirigeais sur cet immense livre à l'allure ancienne trônant dans le centre de la pièce, mais pourtant pas la moindre poussière recouvrait la couverture de cuir ancien malgré son air vieux. J'ouvrais ce livre, le feuilletant d'abord, admirant ces pages fines, si fragile dût à leur ancien âge, je me demande bien comment ont-elle bien pu traverser autant de temps. Les chapitres avaient l'air bel et bien court comme Tynarie me l'avais bien expliqué.
Chapitre 4 : La naissance d'une déesse
C'est en l'an 62 après l'apparition du dieu de la lune, à l'apogée de la domination de simple vie que les dieux nous envoyèrent cette femme qui portait dans son ventre la résurrection d'eux même, cet enfant bénie par toute les entités divines dirigeant notre monde d'être simple, leur enfant à tous. Bénie par les cieux et tout éléments. Cette jeune femme faisant preuve du plus grand courage et du plus grand sacrifice qu'une mère pouvait donner à son enfants. Prise d'un élan héroïque pour les dieux, se mit la mort pour la survis de ce petit être. S'ouvrant le ventre d'un coup vif et précis, et sortant ce petit être du plus profond de ses entrailles accroché à cet œuf. Poussant son dernier soupir laissant s'envoler son âme pour rejoindre celle de nos créateur, car elle était elle-aussi, créatrice de la nouvelle espèce.
Cette femme c'étais donné la mort elle-même, sûrement l'une des mort les plus douloureuse à présent, et malgré les milliers d'années qui nous sépare, nous n'avons pas été capable de mettre un terme à cette boucherie et toute nos mère meurent nous laissant seule dans un monde que nous ne connaissons guère, toute nos mère font le plus grand des sacrifice ultime pour nos vies à nous, petits enfants de gardienne. Le plus beau de cadeaux qui est la vie, mais au prix de notre maman.
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Je voyais mon fils allongé appuyé contre cet arbre, sa femme à ses côtés carressant ses joues rougie et son front suant tandis que sa respiration semblait pénible et saccadé. Il est ici depuis beaucoup trop longtemps, vulnérable à toutes leurs maladies que nous ne connaissons pas. Je voudrais le renvoyer à la maison loin de tout ceci, mais cela m'est encore impossible. Pardonne moi mon fils, nous allons devoir rester ici encore longtemps.
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Nous nous dirigeâmes à l'endroit que cette femme nous avait indiqué, mais je ne vis personne, elle nous a menti, ils se sont déplacé. Salope.
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Je portais mon fils à moitié évanouie par l'épaule, le traînant difficilement, espérant trouver ne serai-ce qu'un ridicule point d'eau dans l'espoir de rafraîchir au mieux son corps brûlant du fait de sa fièvre. Sa respiration difficile parvenait à mes oreilles faisant monter mon angoisse et ma peur de perdre mon fils ici. Iirlana quand à elle, tenait l'armure d'Aargan qu'elle lui avait précédemment retiré voyant qu'il étouffait sous cette carapace de dorure, mais aussi pour me l'alléger pour nos déplacement compliqué, nous ne devions pas rester au même endroit trop longtemps, ou nous risquions de nous faire débusquer et massacrer comme de vulgaire bêtes de chasse fragile.
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Tournant les pages, cherchant mon prochain chapitre pour enrichir mes connaissances sur mon monde, jusqu'à tomber sur le bon numéro, faisant s'accroître ma soif de pouvoir.
Chapitre 12 : La prospérité des peuples
Ce fût un millénaire après la naissance de notre mère à tous que les gardiennes prirent une place dominante et majeure dans notre société, contrôlant bêtes et simples êtres tout en chevauchant leurs puissantes sœurs faites d'écailles et d'éléments, formé et coloré de manière unique au monde pour chacun d'entre eux. Au pouvoir de la grande cité Mateka, la prestigieuse famille Tydiarn faisait régner la paix sur nos beaux bois, concluant chaque année le traité de paix avec le roi des êtres simples, Radyan Citalyn.
" Tynarie !
- Oui.
- Il doit y avoir une erreur dans ce maudit livre !
- Non
- Mais il y a le nom de mon père, c'est un être simple ! Ils ne vivent pas plus de 55 années.
- Ce livres est écrit à la main depuis des millénaires, les être simple l'on remis au gardienne pour le confier à la famille Tydiarn qui l'a rédigé au fil des années, tout ceci n'est que la pure vérité.
- Je n'ai pas envie de croire tout cela, ça ne rime à rien, je n'aurai même pas du te suivre !
- Tu veux rentrer chez toi et mourir ?
- Je...
- Alors ferme la et lis."
Je baissais la tête en reposant mes yeux sur ce livre, me soumettant à l'ordre de Tynarie, qui elle avait déjà tourné les pages jusqu'au prochain chapitre tout en me fusillant du regard pour me forcer à continuer. Pourquoi cette lecture est-elle si importante pour elle ? J'avalais ma salive en voyant l'intitulé du chapitre, j'ai bien trop entendu parler de cette période pour avoir envie de m'y replonger une nouvelle fois. Mais voyant le regard de Tynarie en tournant la tête pour la supplier de ne pas m'obliger, je me rendis vite compte que je n'avais pas le choix.
Chapitre 215: La guerre
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Parallelism [EN RÉECRITURE]
ParanormalQue ce passe-t-il quand les parallèles se rencontrent ?