chapitre 13: souvenir

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-Toujours point vue de lay-

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-Toujours point vue de lay-

Je ne dis pas à un mot à mon père et montre fairya du doigt, il s’avance vers elle et tire un grimace. Je comprends vite que c’est grave, il nous fait signe de tous sortir, ce qu’on fait sur le champ. Je ferme la porte pour laisser mon père travailler, et on descend au salon, on s’installe tous sur le canapé.

« Omma : vous voulez boire quelque chose. »

Ils répondent tous pour dire ce qui veulent boire, moi je dis non de la tête. Je n’ai ni soif ni faim. C’est de ma faute ce qui lui est arrivé, si on l’avait accompagné ça serais jamais arrivé.

« Xiumin : Lay déprime pas stp
Lay : je ne déprime pas, j’ai le droit de m’inquiéter
Xiumin : vient on va parler dehors. »

Je me lève et va dehors xiumin fait de même.

« Xiumin : pourquoi tu nous a rien dit pour elle
Lay : comment ça
Xiumin : bah le truc de l’appartenance
Lay : car déjà vous savais pas ce que ça voulait dire jusqu’à aujourd’hui, et franchement je vous l’aurez dit dès le début, vous m’aurais détesté
Xiumin : mais non-dit pas ça
Lay : bah si c’est vrai
Xiumin : attend tu as eu ce truc des que tu la vue la première fois
Lay : Oui, on ne savait pas ce qu’elle était vraiment
Xiumin : ah oui là c’est sur on t’aurait détesté
Lay : oui voilà, elle-même ne doit pas savoir ce que c’est
Xiumin : tu sais elle fera jamais le premier pas
Lay : je sais, c’est ex l’ont détruit de l’intérieur
Xiumin : soit douce avec elle, c’est ce qu’elle a besoin. »

Je rigole a ce qui vient de dire, on dirait son grand frère qui la protégé.

« Xiumin : Yaah pourquoi tu me regarde comme ça ?
Lay : rien rien
Xiumin : dit ce que ta derrière la tête
Lay : juste que quand je te regarde de plus près, tu lui ressemble
Xiumin : ressemble à qui
Lay : A fairya
Xiumin : c’est parce que on a était orphelin tous les deux qu’on est soit disant frère et sœur
Lay : tu ne sais pas ta fait des recherche sur ton passer avant d’arriver ici
Xiumin : bah non pourquoi faire
Lay : Bah pour savoir qui sont tes parent si ta des frères et sœur, ce genre de chose. On est dans un âge ou ont veut savoir son passé, surtout chez les orphelin.
Xiumin : A tes perturbant toi. »

Je rigole mais je fus interrompu par mon père qui m’appelle de ma chambre.

« Xiumin : vasi, si elle te voit a son réveille ça lui fera plaisir
Lay : hum, c’est le cas dés de mes soucis ça. »

Je rentre et monte directe dans ma chambre, je vois fairya allonger sur mon lit encore inconsciente. Mon père lui a bandé son torse, a mis une perfusion. Je n’aime pas la voir ainsi.

« Appa : Elle est vraiment mal en point, j’ai pu faire le plus gros du travail. Mais pour ce qui est des cote ou hématome, c’est son côté vampire qui s’en chargera
Lay : elle va s’en sortir ?
Appa : oui ta bien fait de l’amené ici, même si elle est à moitié vampire.
Lay : merci appa
Appa : Lay ?
Lay : oui appa
Appa : Ta pas quelque chose à me dire
Lay : je t’ai dit merci
Appa : tu ne sais pas mentir c’est un truc de ouf pour ça tu tiens de ta mère. »

Je ne dis pas un mot je baisse juste les yeux.

« Appa : écoute je ne connais pas cette filles, mais bon si le cœur est le destin la décidé ainsi bah c’est comme ça puis voilà. Je veux juste ton bonheur, si elle te fait souffrir elle aura à faire à nous.
Lay : elle n’est pas comme ça justement, je ne sais même pas si elle eut l’appartenance envers moi.
Appa : reste au près d’elle appelle-moi si ça va pas.
Lay : oui appa encore merci. »

Il me répond par un sourire et descend dans le salon, je m’installe auprès de mon lit. Je me demande si elle dort ou si elle est dans le coma. Elle se met à bouger pour ce tourné dos à moi, bon bah elle dort. Je vois son tatouage au niveau de ça nuque, je le contemple avec mes yeux, il lui va si bien.

-Flash-back-

« Suho : il parait que si tu touches le tatouage d’un loup tu peux voir sont passé
Lay : pff c’est n’importe quoi
Suho : si c’est vrai, ma mère m’a dit qu’il y avait que ce qui on l’appartenance envers l’autre peuvent le voir. »

-Fin du flash-back-

Aish qui ne t’en a rien n’a rien, Je pose ma main sur son tatouage.

Mes vrai origineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant