Amour de jeunesse.

P36| « Amour presque parfait.»

Abbés.

Deux semaines que je ne l'avais plus vue et voilà que sa petite tête me manquait déjà. Sincèrement j'étais devenu un vrai petit canard pour être franc. Mais en soit,ça me déranger pas tant que ça parce que assumer le faite d'aimer sa femme entre vous et moi c'est pas un crime.

J'ai mis du temps à assumer mais aujourd'hui enfaite j'ai pris connaissance que ça servait à rien de nié et que les sentiments étaient belle et bien là.

Enfin bref flemme de parler de sentiment encore les gars,comme je disais je ne l'avais pas vue et je sentais comme si elle m'ignorait. Je sais pas si c'était moi,si malencontreusement j'avais fais une erreur.

Je pouvais pas savoir si j'avais fais quelque chose de mal ou non parce qu'elle me parlait pas,ne décrochait pas et pour combler le tout m'éviter comme la peste. J'ai même commencer à doutée moi même si j'avais pas fais quelque chose putain.

Au loin j'aperçois Bouchra c'est sans attendre que je me rends à sa rencontre,c'était sa meilleur amis zerhma elle était ou devait t'être au courant de tout ce qui ce passe dans sa vie.

-Bouchra : « J'ai pas le temps la Abbés,je dois rentrer.»

Je l'observe de haute en bas,mais attendez elle me prenait pour qui s'il vous plaît? J'allais avoir des réponses à mes questions aujourd'hui qu'elle le veuille ou non. Autant Bouchra je l'apprécier beaucoup parce que c'était celle qui rendait mon Hamza heureux mais qu'est-ce qu'elle était remplit de manière cette meuf.

-Abbés : « Écoute moi bien,je sais pas tu me prends pour qui ça fait un petit moment tu me casses fort les couilles avec tes manières. Je dis rien parce qu'autrement dit ça va pas être des paroles gentilles qui vont sortir de ma bouche. Donc tu vas me dire,pourquoi t'a vielle copine elle m'esquive depuis deux semaines maintenant.»

Elle souffle avant de me demander de la suivre,bipolaire la meuf. C'est pas pour rien qu'elle est avec Hamza deux malades mentaux.

-Bouchra : « Elle est malade.»
-Abbés : « Merci,je le savais bien.»
-Bouchra : « Non mais je voulais pas le formuler de cette manière.»
-Abbés : « Je m'en bas les couille,vasy jacte aboya t'-il.»

Elle faisait exprès? Pourquoi passer par quatre chemin hein? J'avais clairement pas le temps pour commencer à jouer a ce jeu là,j'avais le sentiment qu'elle ce jouait de la situation et sa m'énervait.

-Bouchra : « C'est bon calme toi aussi,donc comme je disais oui,elle est malade mais je voulais dire par la qu'elle est entré dans sa dernière phase. Et c'est-...elle ce stoppa un instant,honnêtement je ne sais même pas si je dois te le dire. Je ne-...»

Ma patiente avait clairement des limites et je sentais que malgré le faite que Bouchra commence à avoir les larmes au yeux,elle jouait un peu beaucoup trop avec ma patiente. Va droit au but (L'OM EH MERCE HEIN),dit les choses concrètement mais elle m'énervait à passer par quatre chemin.

C'est sans écouter la suite de ces mots que je m'avance vers ma voiture afin de regagner au plus vite leurs résidences. Putain,elle avait réussit à me mettre une d'ces pressions Bouchra. J'étais réellement en stresse.

J'essaie tant bien que mal de me détendre,je n'allais pas débarquer la bas sous tension déjà que son état d'après les dires n'était pas vraiment top.