Amour de jeunesse.

P50| « Adieu l'amour de ma vie.»

«Je t'aime,d'un amour que je ne peux décrire,je t'aime à en mourir.

À jamais dans mon coeur,Abbés.
Tu es l'amour de ma vie.»

Je ferme le précieux Journal intime,mes mains de par et d'autre sur mon visage. Je n'arrivais pas à y croire.

Maintenant deux années passées et ça me faisait toujours aussi mal de relire son Journal,il était précieux pour elle,son meilleur amie. Des personnes pourraient trouver sa débile de ce confié sur un petit bout de papier mais c'était bien plus que ça,sa vie entière était inscrit dessus,je n'ai jamais voulu le jeter même si sa me déchire le coeur de le relire et pourtant je m'inflige à le relire encore et encore.

J'essaye de garder des très bon souvenir d'elle parfois quand je suis seule et que je me noie dans ma peine. J'ai l'impression de l'avoir à côté de moi,de sentir sa présence.

Tout aurait bien pu ce passer autrement,j'suis profondément déçu et énormément peiné. On auraient pu ce battre,ce battre contre la vie.

On étais si bien ensemble. Comme un seul être séparé à la naissance. Comme un seul être qui se retrouve plus tard. Nos débuts n'ont pas été toujours faciles, mais peu importe, puisque l'on savait l'un comme l'autre que nous étions fait pour vivre notre existence ensemble. Puis à force de volonté et détermination,les choses ont été plus faciles. Un couple sans faille,une entente sans faille,une confiance sans faille.....Mais la faille était là,bien cachée,invisible.

Je hais l'amour et l'espoir. Tu représentes tout sa. Comment peut-il y avoir tant d'amour dans un coeur, sa je ne le sais pas.

C'est avec la gorge noué que je me lève de la chaise,qui pouvait bien sonnée à cette heure ci,et surtout qui savait que j'étais ici.

-Hamza : « Qu'est ce que tu fais là?»
-Abbés : « Je te retourne la question.»
-Hamza : « J'avais envie de me remémorer des souvenirs,des extraordinaires souvenirs d'elle.»

Je me décale et le laisse passer,lui comme moi cherchait juste à ce remémorer les plus beaux souvenirs que nous avions eu à ces côtés. J'aurais préférer être seule,mais lui comme moi étions dans le mal. L'appartement de Bouchra n'a jamais été revendu,elle n'a pas voulu. Elle a tout simplement pendant un petit moment décider d'habiter chez sa mère n'ayant pas supporter l'énorme choc.

C'est dans un silence d'enterrement que tout deux plongèrent dans nos pensés. J'avais pas envie de parler à défaut que sa provoque en moi une colère noir,je ne voulais plus qu'on parle de ça mais dans ma tête j'y repensais nuit et jour. J'avais juste du mal à m'exprimer ouvertement,je préférais tout garder pour moi. Je n'étais pas encore prêt.

Les autres regardent avec les yeux,moi avec le coeur. Et ne plus te voir avec mon coeur me détruit. Tu étais devenu ma raison de vivre,et tu l'es encore aujourd'hui. Je ne peux pas tournée la page et ne plus t'avoir dans ma vie même si c'est ce que je dois faire et ce que tu aurais aimer que je fasse.

Je t'en veux. Tu me l'avais promis. Tu m'avais jurée de ne pas m'abandonner. Que c'était toi et moi jusqu'au bout.

Elle vivait réellement mal sa maladie autant que je ne pouvais le pensé. Je n'ai rien vue,comme toujours. Elle jouait la comédie et me montrer qu'elle allait bien sûrement pour ne pas m'inquiéter mais j'aurais aimer qu'elle me le montre,qu'elle me montre sa peine et que je puisse l'aider à aller mieux. Je me sens coupable putain,c'est à cause de moi qu'elle n'est plus au près de moi. Je n'ai pas pris soins d'elle.