Cohabitation

452 6 0
                                    

Une fois à la maison nous passons au démaquillage toutes les deux dans la salle de bain, il faut dire que le chauffage collectif n’a pas encore été remis et que l’on apprécie bien mon petit chauffage d’appoint. Je me suis faite au fait de ne plus vivre seule et me changer dans la même pièce que Marketa ne me pose plus du tout de problèmes. Une fois mon pyjama enfilé je prends la direction de mon lit pour me mettre bien au chaud sous la couette. Je ne me suis pas endormi tout de suite, j’ai entendu ma colocataire regarder un peu la télé et aller se coucher à son tour. Je commence fermer les yeux, peut être me suis-je déjà un endormi mais un bruit attire mon attention. Pour la première fois Marketa a laissé son téléphone allumé et elle doit dormir car il n’arrête pas de sonner mais après quelques instant ce n’est pas tout à fait sa voix que j’entends mais des gémissements de plus en plus fort. Je perçois ses cris étouffés j’imagine qu’elle doit se servir de sa couette, puis plus rien mis à part un léger bruit qui doit venir de sa table de nuit. Le lendemain matin j’étais, comme bien souvent la première levée. je prépare tranquillement le petit déjeuner je sais que Marketa est plutôt matinale comme moi et qu’elle ne va pas tarder à se lever à son tour. Une fois debout nous prenons notre petit déjeuner ensemble bien qu’il n’y ait pas grand chose à en dire nous discutons de notre soirée et… Marketa qui m’avoue avoir été en manque hier soir et qu’elle ne pouvait pas dormir sans s’être donné du plaisir. Cette révélation ne me choque pas car j’ai dû à peu près tout entendre hier soir mais c’est la première fois de ma vie qu’une fille, hormis quelques très bonne copines à l’époque du lycée, à m’avouer ce genre de choses mais je crois qu’il ne faut plus que je m’étonne de rien. Je ne relève pas et n’avoue pas non plus avoir tout entendu et c’est tranquillement que nous finissons la matinée tout comme la journée. Lundi matin je me lève tôt mes premiers cours sont à 8h et je pars avant même que ma colocataire soit debout. Dans la matinée j’ai cours avec les deux filles que j’avais surprise pendant le voyage scolaire. A peine entrées dans la salle alors que tout le monde sort ses affaires, je prends mon air sérieuse en les regardant et lance:

Moi : “ Les filles, vous viendrez me voir à la fin du cour.”

Ce sont deux élèves plutôt studieuse et les autres élèves se posent la question de savoir pourquoi quand à elle il semblerait qu’elles aient compris la raison de notre entrevue. Je crois que ma phrase a jeté un froid ce qui m permet d’avoir un cour plutôt calme. A la fin de celui-ci, elle prennent leurs temps pour ranger leurs affaires et laisser les autres partir avant. Je me lève et ferme la porte pendant qu’elle se dirige vers mon bureau où je les rejoints. C’est alors que je remarque qu’elle se tienne la main comme pour surmonter une épreuve, elles qui essaient plutôt de cacher leur relation en temps normal ce qui rend ce geste encore plus touchant.

Moi: “Vous savez pourquoi je voulais vous voir?”

L’une après l’autre elle me réponde un “oui” à peine audible.

Moi: “Alors voilà, j’en ai discuté avec des collègues qui m’ont conseillés d’aller voir avec vous le proviseur ou de vous sanctionner avec des heures de colles et un messages à faire signer par les parents.”

Les 2 visages deviennent pâle et je me doute alors que les parents ne sont certainement pas au courant…

Moi: “Alors ce que je vais faire… Rien! Je voulais voir vos réactions et ce n’est pas mon rôle de vous poser des problèmes. Rassurez-vous je n’en ai pas parlé non plus je ne suis pas sûr que certains collègues comprendrais votre relation. Je n’ai rien contre vous donc je vous laisse aller à votre cours suivant en vous prévenant juste que si vous vous faites prendre par quelqu’un d’autre que moi dans les locaux ça ne sera probablement pas a même musique donc faites attention à vous.”

Leurs visage à repris des couleurs et après m’avoir dit merci avec un grand sourire elle sorte de ma classe se lâchant la main juste à la porte. Voilà comment c’est déroulé mon lundi et les autres jours qui ont suivi se sont tous ressemblé. Nous sommes maintenant vendredi soir je rentre tranquillement à la maison contente d’être en week-end mais surtout en vacances quand à Marketa elle est partie 3 jours dans son pays pour un séminaire de travail avec ses collègues ou elle aura à pein le temps de voir sa famille. Je vais donc être seule… pas de bon petit plats en vue. Ce soir c’est plateau télé avec une pizza acheté presque en bas de chez moi et comme il n’y a rien à la télé comme souvent le vendredi je ne tarde pas à aller me coucher. J’aime bien être au lit de bonne heure pour me lever tôt le lendemain et profiter à fond de la journée, mais ce soir je ne trouve pas le sommeil. Il faut dire que depuis que j’ai entendu ma colocataire se faire du bien j’ai envie de m’en faire aussi mais impossible de pouvoir penser que je puisse être entendu alors pourquoi ne pas en profiter d’être seule? Je ne réfléchis pas bien longtemps avant d’aller me chercher un jouet. Le chauffage n’a pas encore été mis dans l‘immeuble mais malgrés qu’il ne fasse pas chaud je décide de me mettre nue pour me recoucher en prenant bien soin de mettre mes affaires près du lit pour demain matin. Quand je reviens dans le lit il est encore chaud et sa chaleur m’enivre un peu. je garde près de moi mon joujou pour qu’il prenne une température acceptable. Je me sens déjà excitée lorsque je porte à ma bouche mon gode. Je le lèche et le suce pour qu’il soit bien mouillé voir trempé pendant qu’avec mon autre main je caresse chacun de es seins qui se tendent très vite avec les mamelons qui pointent et que je pince pour augmenter mon excitation tout en continuant de mouiller mon sex-toy ma main est comme attirée par mon entre jambe, elle passe sur mon pubis dont les poils commencent à repousser mais dont la douceur est très agréable puis, mes doigts glisse sur ma fente et je constate que je suis bien plus que humide car mon doigt est trempé de cyprine. Je descend le gode sur mon sexe m’écartant les lèvres pour que sa douceur glisse tout doucement le long de ma vulve. Je mets la position vibration et le colle contre mon clitoris que je fais ressortir au maximum pour que chaque vibration fasse monter la chaleur en moi. Je ne tarde pas à être remplie de désir et d’envie d’aller plus loin c’est à cet instant que je décide d’entrer mon jouet en moi et je ne sais pas pourquoi à cet instant c’est à Marketa que je pense car je sais que je fais du bruit alors que dirait elle si elle m’entendais! Mais cette idée ne me refroidit pas au contraire, je décide de profiter au maximum de son absence. je tiens d’une main mon vibro que je fais entrer et ressortir de mon sexe de plus en plus vite pendant que l’autre ki masse frénétiquement mon clitoris. Je suis tellement dans mes pensées que j’ai poussé la couette sur le côté et malgré que je sois étendue nue sur mon lit je ne sens même pas le froid. Mes cuisses sont écartées comme jamais, j’ai les genoux pliés et les pieds qui ne posent que sur leurs pointes et c’est à cet instant que je me laisse aller à un orgasme intense et bruyant qui me fait le plus grand bien. Je suis complètement essoufflée et après quelques minutes pour m’en remettre je remet le couette sur moi et m’endors assez vite complètement détendu. Le dimanche se passe tranquillement jusqu’au retour de Marketa vers 22H00 qui après m’avoir raconté un peu son séjour va directement se coucher vu les yeux qu’elle a, son séminaire n’a pas dû être de tout repos quand à moi je regarde un peu la télé avant d’aller me coucher à mon tour. J’entend ma porte s’entrouvrir je ne sais pas vraiment quelle heure il est mais je n’ai pas envie de bouger d’un centimètre puis j’entends mon prénom et reconnais aussitôt la voix de ma colocataire.

Rencontre sportiveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant