toi

39 5 4
                                    

Ô toi qui m'as sauvé des flammes de la mort
Toi qui m'as accordé ton amour éternel
Ô toi qui brillais dans ma vie telle de l'or
Toi qui me faisais vivre un bonheur irréel.

Sous le soleil couchant, le chant des hirondelles
Dans le calme du bois, nos mains serrées implorent
Cette belle promenade qui dure encore
D'emporter nos heureux souvenirs avec elle.

Voeu maudit, tu fis mourir mon coeur désolé
Emportant avec lui un être bien trop cher
Larmes ruisselantes, transformant mon coeur en pierre.

Je ne cesse de dire que je l'ai aimé
Un besoin, un manque, un vide, ma nécessité
Poison, me sauras-tu rendre ma bien-aimée?

AversesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant