Chapitre 1: Le chapeau idiot

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Voila le premier chapitre de cette histoire (et de l'année) 😀

Un homme homme bond et grand venait d'entrer dans un hôpital en tenant sous le bras un enfant aux cheveux noirs cachés en parti par un bonnet tacheté. Il avait les yeux gris et la peau très pâle, et pour cause, il était la dernière personne sur cette Terre à être encore atteinte du Saturnisme blanc. Le prouvait les plaques blanches qui se multipliaient sur sa peau. Il s'appelait Trafalgar Law, était âgé d'à peine 12 ans et était un survivant de Flévence.

L'homme qui tentait de lui sauver la vie s'appelait Corazon. Il portait une chemise à cœur, un pantalon blanc, un bonnet violet et un manteau en plume noir. Il était le petit frère d'un pirate qui allait devenir l'un des pires qui soit, Don Quichotte Doflamingo, mais c'était infiltré dans son équipage pour le détruire.

Touché par l'enfant malade qui y était entré, il tentait de l'aider. Pour cela il entrait avec lui dans un énième hôpital pour trouver un médecin qui réussirait à le sauver.

À l'image des sept essaies précédents, ils étaient tout les deux entrés dans l'hôpital et avait demandé une consultation. Un médecin et une infirmière les avaient reçut et, en entendant le nom de la maladie du petit, avaient imploré leur grands dieux d'être épargner par elle. Le jeune garçon était parti en courant devant ces réactions, Corazon s'était mis en colère et avait détruis un parti du bâtiment en frappant le médecin qui avait examiné l'enfant.

***

Law courait encore dans un des couloirs de l'hôpital où régnait cette odeur de désinfectant qu'il appréciait tant autrefois. Il courait encore et encore en espérant qu'un jour il le laisserait tranquille au sujet de sa maladie. De toute façon, il la savait incurable, alors pourquoi luter.

En courant à perdre allène, les larmes aux yeux, vers la sorti il ne regardaient pas où il allait. Juste devant le bâtiment médical, il heurta quelqu'un et se retrouva sur les fesses.

- Vous pouvez pas regarder où vous allez?! cria-t-il en essuyant ses larmes d'un revers de la main.

- C'est plutôt à moi de dire ça, corrigea sans agressivité la femme qu'il venait de percuter. Tu es sorti tellement vite de l'hôpital que je ne t'ai pas vue me foncer dessus.

En levant la tête, il remarqua d'abord qu'elle était incroyablement belle. Elle portait une blouse, avait la peau très pâle et ses cheveux blanc lui donnait l'apparence d'un ange à ses yeux. Il constata ensuite que son ventre était assez développé. En remarquant qu'elle était enceinte et qu'il était effectivement en faute, il bredouilla des excuses.

La femme n'avait pas encore levé les yeux vers l'enfant qui lui était littéralement rentré dedans. Mais quand elle le fit, elle contait juste lui dire que ce n'était pas grave, mais elle resta figée.

En pensant qu'elle aussi avait comprit qu'elle était sa maladie à la vue des taches blanches qui commençaient à marquer son visage, il prit la fuite.

- Attend, petit, cira-t-elle.

Il ne l'écouta pas et traça sa route.

***

C'est à bout de souffle que Law s'effondra contre un arbre en lisière de foret.

- Et bien, tu m'auras fait courir, dit une voie féminine et essoufflé derrière lui.

En se retournant, il vit le femme qu'il avait bousculé un peu plus tôt.

- Tu ne sais pas que ce n'est pas bon pour une femme enceinte de courir comme ça surtout aussi proche de son terme.

Siréna WhiteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant