Siréna White

Chapitre 37 (suite)

Oui, à la base le ce chapitre faisait parti du chapitre d'avant, mais il était beaucoup, beaucoup trop long. Donc, voila la suite 😁

Après une semaine passée à terminer l'étude de la jeune femme, l'homme l'observait. Ils étaient encore tout deux nus dans le lit de la plus jeune. Cette dernière, couchée sur son ventre, notait ses derniers résultats d'expérience sans faire attention à son partenaire. Il en fut ainsi jusqu'à ce qu'il vienne passer sa main dans son dos.

- Qu'est-ce que tu fais, Alexi? Demanda-t-elle en arrêtant les mouvements de sa main pour le regarder du coin de l'œil.

- Je me disais juste que tu étais très attirante comme ça.

- Je te rappelle que je n'ai couché avec toi que pour mon étude.

- Tu n'as pas besoin de me le redire, assura-t-il en commençant à passez ses doigts le long de sa colonne vertébrale.

Cela provoqua un frisson à la jeune femme.

- À passer une semaine à ne rien faire d'autre que coucher avec toi, j'ai commencé à comprendre certaines choses.

- C'est-à-dire?

- Je t'ai observé au moins autant que tu l'as fait. J'ai réussi à trouver certains de tes points sensible et j'ai même réussi, ce qui me semble être un exploit, à te faire jouir autant de fois que nous avons copulé.

- Tu ne te trompes pas, peu avait réussi à faire ça avant toi.

- Tu sais, Séira, je peux recommencer encore, mais il faudrait pour ça que tu y mettes un peu du tien.

- Je ne comprend pas ce que tu veux dire.

- Est-ce que tu as déjà couché hors du cadre de ton étude?

Elle soupira et ferma les yeux.

- Non.

- Et si tu essayais de t'amuser quand on le fait.

- Sans façon, finit-elle par répondre.

- Pourquoi donc? Je suis certain que tu prendrais plus de plaisir en te laissant aller.

En prononçant sa phrase, il comprit le problème.

- Tu ne sais pas comment faire, c'est ça?

Sans lui répondre, elle recommença à écrire.

- J'ai tapé juste.

- Fiche-moi la paix, grogna-t-elle, les joues légèrement rouges.

Il ne la lâcha pas pour autant et la fit cesser d'écrire en l'attirant vers lui.

- Je peux t'aider si tu veux.

- Et si je ne veux pas.

- Alors je te laisserais. Tu ne veux pas?

- Si, avoua-t-elle en détournant le regard.

Il sourit d'avoir éraflé la carapace qu'elle s'était faite.

- Je te jure que ce n'est pas aussi compliqué que ça en à l'air. Tu n'as qu'à te détendre, fermer les yeux et me laisser faire.

- D'accord, accepta-t-elle.

Elle inspira longuement en fermant les yeux. Lorsqu'il vit qu'elle était complètement détendue, il alla jouer de sa langue avec le clitoris de sa partenaire. À cette sensation, elle se raidit.

- Laisse-toi aller, Séira, lui conseilla-t-il.

Il la sentit se calmer et il reprit. Rapidement après, elle se contracta de plaisir en laissant percer de sa bouche quelques gémissements. Lorsqu'il l'eut fait jouir, il remonta vers son visage pour lui demander comment elle avait trouvé ça. Elle avait répondu sans mots, en tournant la tête vers lui et en le surplombant d'un mouvement vif. Pour une fois, elle se laissa aller et se concentra sur autre chose que son travail.