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La chaleur du mois d'août brûlait ma peau, mais je ne pouvais pas bougé mon esprit était trop lourd à porter. En effet comme tout élève en situation de fin de fin de vacances, je commençais à compter les jours qui me séparer de la rentrée. Étendu sur le sol, des questions m'envahirent l'esprit.

Passer de collège à lycée n'était facile pour personne, ça j'en étais certaines. Cependant c'était ma situation qui me posait problème. Pour faire court, j'ai coupé les ponts, avec tout le monde. J'allais dans un lycée où j'avais la certitude de ne revoir personnes avec un visage familier. Je sais que c'est bien de savoir qu'on à personnes sur qui comptait alors je ne m'en fait pas trop. Je regarde furtivement l'heure qu'affiche mn téléphone, je ne devrais pas tarder à rentrer, mes parents sont plus qu'obnubiler par leur travail et les grandes vacances sont les rares fois où je peux vraiment me sentir comme leurs filles. Ils sont absents la moitié de l'année et maintenant que l'étape de l'autonomie est passé je vais devoir passé mon année dans une maison vide, sans goût, ni lueur de vivants. Je suis Joie à part ça.

Je m'entends poussé un long soupir de frustration et développe mes membres afin de me retrouver debout et partir en direction du départ. Le sable chaud qui s'incruste entre mes orteils va soudainement me manqué. Adieu seuls moments de liberté. Je remonte alors sur la pente brute et enfile une paire très glamour de claquettes.

Je me retourne vers la masse d'eau qui s'étend derrière moi et le spectacle qui s'offrent à mes prunelles brunes m'éblouis; le coucher de soleil et à sa gloire et j'aperçois pas mal de personnes le contemplait dans sa splendeur. Ils ont raisons il y a des choses magnifiques sur ce petit coin de Terre.

En tout cas maintenant l'heure était à la préparation psychologique de quitter cet endroit.

Une fois devant la tente qui nous servait d'habitat je ne fus même pas étonné de voir ma mère, sourire plaqué aux lèvres, fière devant nos valises bouclés et quelques mètres plus loin, mon géniteur ayant déjà fait de la place dans le véhicule. Ma mère se tourna vers moi et commença la phrase qu'à chaque fin de vacances elle nous répéter:

- Enfin, revient la routine agréable du travail.

Je soupire desesperé, un petit sourire au coin des lèvres. Au moment où tout est près et que nous pouvons partir à la plus grande joie de mes parents, je me met à ressasser les moments gagnés ce mois-cite conclus que j'en suis fière c'est ainsi que les vacances se termine et qu'une nouvelle page se tourne.

je n'explique pas les sentiments que j'ai lors du voyage du retour, de l'anxiété peut-être je ne sais pas. Mais malgré de petites remarques péjoratives qui viennent titiller mon esprit je sens que cette année va être pas mal.

^^

HOLA HOLA

J'ai réécris ce premier chapitre d'introduction, problème de cohérence, d'écriture etc... enfin bref rien n'allait dans ce chapitre il était nul donc je le ré-écris avec espoir qu'il soit un peu mieux je souhaitais qu'il soit plus long mais la vie en à fait autrement sur ce.

PASSEZ, PASSÉ, PASSE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant