Péripéties [호석/Hoseok]

Acceptation

Après qu'elle ne se soit évanouit, Hoseok ainsi que le reste des jeunes hommes avaient suivi l'ambulance de près pour s'assurer de la santé de cette demoiselle portant la vie.

En arrivant dans la chambre de Na Ri, il constatait qu'elle était encore endormie malgré le fait que les médecins avaient du trifouiller son corps en long et en large pour espérer sauver la vie de l'enfant en devenir. Ce qu'ils avaient échoués et bien évidemment, il redoutait la réaction de la jeune ex-maman.

Il approchait lentement dans cette chambre, seul. Les autres avaient choisi de faire un tour à la cafétéria pour se remettre de leurs émotions face à l'accident et face à la mort de l'être.

En tendant l'oreille, il entendait sa respiration tranquille qui se noyait sur son oreiller immaculé.

« Cette tranquillité ne sera pas si longue. » pensait-il.

Il entendait presque les pensées perdues de la jeune femme en face de lui dans le calme olympien de la pièce.

Le jeune homme savait qu'il n'était pas convenu dans cette situation de se laisser à ses pensées bien qu'il s'autorisait à la trouver belle.

« Et même quand elle sera détruite, elle sera belle. Ce sera son éclatement qui me fascinera autant que lorsque l'on observe un poussin sortir de sa coquille. C'est si contradictoire mais tellement fascinant, attrayant. Elle mourra à petit feu mais elle sera aussi émouvante que lorsque la vie apparaît. Une énigme à elle-seule. »

Après ces révélations faites à lui-même dans le plus grand secret de la pièce vierge de gaieté, il était sortit plein de sereinité.

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Hoseok avait entendu qu'elle s'était réveillée par le biais d'une infirmière pas très discrète dans sa façon de parler avec un médecin visiblement exténué. Alors lui et les autres s'étaient rapprochés des deux énergumènes et les avaient suivi silencieusement, se demandant qu'elle allait être la réaction d'une mère apprenant que son enfant est mort avant de connaitre la vie.

Et ils l'avaient vu, ils avaient expérimentés cette souffrance qui se dégageait d'elle. Il avaient vu entendu toute la douleur sur son visage et dans son cri. Et cela avait été bien pire qu'ils ne s'étaient jamais imaginés.

La voir se débattre avec sa propre souffrance au point de devoir être anesthésiée de force les avaient plus brisés qu'ils ne le faisaient croire.

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Je vous avoue que j'en ai franchement marre de Wattpad et de ses beugs qui font que je dois poster ma partie 40 mille fois pour qu'après avoir raffraîchit ma page, ma partie soit éffacée. Voilà.

j'espère que cela vous a tout de même plu.