Hetalia x OC - Suite

Chapitre 4 : Des rêves particuliers

Des jours passèrent devenant des semaines, des mois...

La famille Vargas séparé de l'un de leur membre, n'abandonnerons pas.

Du coter de Rome, les deux frères ont eu 15 ans.

Rosario a eu beaucoup de mal à reprendre l'école comme avant par le manque de sa petite protégée. En plus de cela, les moqueries ne cesser de s'aggravés. Bien que protéger par son frère et Rino, le jeune italien se sentait de plus en plus faible tandis que son estime de soi baissée considérablement.

Le gang de Florencio à monter en puissance, en plus qu'il y avait de plus en plus de soldats, ces derniers ne s'occupaient pas plus que des petits marchés par-ci par-là avec des bagarres et de la petite corruption mais s'attaquer à la vente illicite principalement d'héroïne et avait sous sa possession de nombreux policiers et vendeurs corrompus. La Per Vittoria était à la bouche de nombreuses famille mafieuse impressionnés par la monter de ce gang de mineurs.

Lovina n'en savait plus où mettre la tête, entre son fils s'engageant dans l'illicite, sa fille vendue quelque part en Espagne, son mari blessé... Celle-ci prenait souvent des soirées entières à se saouler rentrant de plus en plus souvent ivre à des heures tardives chez elle.

D'un autre coter à Madrid, Imke a eu 12 ans, elle s'était habituée à son nouvelle environnement. Les cours avec Jo se passaient bien, la jeune fille n'aimais pas trop les Maths et l'Espagnol mais adorer l'art plastique, la musique et l'histoire. Seulement, elle avait interdiction de Antonio de sortir seule disant que la ville était trop dangereuse. Par moment, elle s'amuser à observer par la fenêtre les voitures et les passants. Mais, il lui arriver souvent de pleurer pour rien, se sentant horriblement triste. Dans ses moments-là, elle s'enferme dans sa chambre, ferme les volets et pleure de longues heures. Liebe reste souvent avec Erika, il a beau être horriblement énergétique et aime faire des bêtises, il déteste voir sa maîtresse déprimer et à l'habitude dans ses moments-là de se coller contre elle et lui léché la joue.

En Espagne – 16h... Pdv Jo

Cela faisait depuis 13 heure que Erika s'était enfermé dans sa chambre, prétendant être fatigué.

M'approchant de sa porte, je toquai trois fois avant de demander ;

-Erika, tout va bien ? Tu n'es pas sortie de toute l'après-midi...

Antonio n'était pas à la maison étant il y a deux semaine partis chez un de ses amis en France d'un seul coup, il avait dit qu'il reviendrait surement bientôt mais n'avait pas préciser.

Celle-ci ne répondu rien, mais je savais parfaitement qu'elle ne dormait pas.

-Erika, laisse-moi entrer, si quelque chose ne va pas, tu peux me le dire !

Même si elle essayer de les étouffés, j'arrivais à entendre des petits sanglots venant de sa chambre.

-L-laisse-moi tranquille !!

Me cria-t-elle la voie tremblante ce qui me fit froncer les sourcils.

-Je ne vais pas te gronder, je veux juste te parler ! Ouvre-moi s'il te plait Erika !!

-J-je vais bien ! Je n'ai pas b-besoin d'aide !!!

Etait-ce sa crise d'adolescence ou juste le début d'une dépression ? dans les deux cas, cela n'était pas bon signe.

Je voulais l'aidé, elle n'était pas arrivée il y a longtemps et avait perdu la mémoire... J'étais sûr que malgré cela elle s'était habitué à sa vie ici, mais ce n'était que des idées reçus.