La cité de l'amour [Tome 1] (Réécriture)

Chapitre 31

Quelques semaines plus tard;

Cela fait une semaine que je suis rentrée de New York. Je suis tellement fatiguée du décalage horaire que je n'ai même pas vue les garçons. Julie est passer pour prendre de mes nouvelles, les garçons préparent l'album de Ken. D'ailleurs, depuis New York on a pas beaucoup parler lui et moi. Il me dit qu'il est énormément en studio, même si son album est prévue que dans deux ans, il y est acharné.
Je dois avouer être un peu vexer quand même qu'ils ni même est pas envoyer un sms pour savoir si j'étais rentrée.
Je sors de mes pensées et de mon lit. Je suis en vacance mais pas ma mère ni Olivier. Deen doit traîner en studio avec les autres.
Je me rend dans la cuisine et me sert un verre de jus d'orange. Alors que je croque dans une pomme, j'entends du bruit dans le salon. J'attrape la bouteille en verre vide de vin d'hier soir et me rend dans la salle. Je vois un homme de dos mais reconnais directement la veste.

-Tu m'as fait peur trou du cul.

Il se tourne et me sourit. Je pose la bouteille et m'approche de lui. Alors qu'un millier de question se bousculent dans mon crâne, il les fait taire en m'embrassant tendrement.

-Tu m'as manqué ma petite.
-J'ai vue ça oui, aucune nouvelle de vous depuis que vous êtes partit de New York.
-Je t'ai dit, on est beaucoup en studio.
-Jai bien compris. Mais un sms prend pas plus de temps que ça.
-Louis nous les prends quand on travail. Aussi non on serait toujours sur nos tel et on écouterai rien et on avancerai pas.

Je hoche la tête et me recule pour retourner dans la cuisine. Tout du moins c'etais mon plan mais j'avais oublié que Ken était un peu lourd. Il m'a rattraper et m'à porter contre lui.

-Ken j'ai faim, ralai-Je.
-Je veux un câlin, tu m'en as pas fait donc je fait autrement.
-Tu ne me l'as pas dit aussi.
-Tu as pas regarder ton téléphone en te réveillant ?
-Non, je descendais seulement prendre un truc à manger et je remontait.

Il rigole et me repose.

-Et bien je t'ai dit par message que je voulais tes bras, comme tu répondais pas, je suis venue. J'ai croiser ta mère qui partait au travail et du coup j'ai attendu que tu te réveilles.
-Pourquoi tu es pas venue me réveiller?
-Tu étais trop mignonne en dormant que je pouvais pas te sortir de ça.

Mes joues prennent feu dans un immense brasier qu'il a provoquer dans mon crâne. Je me rapproche de lui et l'embrasse.

-C'étais les trois semaines les plus longues de ma vie, me murmure Ken.
-Tu es un canard, rigolai-Je.
-Tu préfères que je fasse le bad boy ?
-Montre moi ce que ça donne, jouai-Je.

Il sourit et me porte violemment et me pose sur le plan de travail. Je me cambre contre son corps tandis qu'il le couvre de baiser brûlant. Mon corps part en cendre dans le brasier qu'est devenu ma chair. Il enlève mon haut et me porte contre lui. Aucune douceur, juste du sauvage et de la nervosité.
Il me porte contre lui jusqu'à ma chambre. Une fois sur le lit, il me lache et enlève son haut. Il s'attaque à nouveau à mon cou et ma poitrine. Je laisse quelque gémissements sortir. Il se remet sur moi, descend mon bas de pyjama avant de m'embrasser langoureusement. Je parcours son corps du bout de mes doigts. Il attrape mes mains et les passe au dessus de la tête. Il enlève son caleçon et me regarde dans les yeux. Il entre en moi, je ne peux retenir de légers cris.

-Ken c'est douloureux sans préliminaires, gémissais-Je.

Il s'enlève et enfile un préservatif.

-Lubrifier ça feras moins mal, t'en fais pas, joue-t-il.

Il caresse du bout des doigts mon corps. Je frissonne de tout mon être en souriant. Il entre en moi dans un énième gémissement. Il accélère en moi, je sens mon corps bouillir.