La cité de l'amour [Tome 1] (Réécriture)

Chapitre 32

Je me réveille doucement, entourer de petits faisceaux de lumière passant à travers les volets électrique de la chambre que je reconnais rapidement comme celle de Ken. Les souvenirs de la veille me reviennent au fur et à mesure que mon cerveau s'éveille.

-Bonjours printsessa, glisse une voix rocque jusqu'à mon oreille.

Je laisse un sourire inonder mon visage et me tourne vers l'homme qui m'accompagne dans ce lit.

-Je suis navrée pour Laure, dis-je en souriant. Mais je préfère être à sa place et elle loin.

Il rit et m'enlace.

-Ma mère nous a appeler il y a une heure pour manger mais comme je lui ai dit que tu dormais, elle m'a dit qu'elle partait sur Nice vers quatorze heure avec ma soeur et mon père.m et qu'elle pouvait pas nous attendre. Donc elle nous a laisser de quoi manger.
-Elle est mignonne.

Il se lève et me tire hors du lit.

-Tu sais ce que ça veux dire surtout ? Dit-il en me tirant par le t-shirt pour m'approcher de lui.

Je rigole et m'accroche à son cou.

-Non, dit-moi, souris-je contre ses lèvres.

Il m'embrasse tendrement.

-On peux se doucher ensemble et passer du bon temps, m'entraîne-t-il dans la salle de bain.

Je me laisse guider, et sourit.

-Tu veux dire qu'on peux faire des bêtises ? L'embrassai-je.
-Oui, pleins de bêtises.

Il couvre mon cou de tendre baisers de plus en plus brûlants. Je m'accroche à son cou tandis qu'il me porte contre lui. Mon cœur s'affole, mes sens s'éveillent, je sens la bonne journée arriver.
Il me pose sur le lavabo avant d'enlever son haut. Il m'embrasse fougueusement, laissant parler nos pulsions les plus osées. Il retire mon pyjama tout en m'embrassant. Une fois la chemise en satin quitter, il me porte à nouveau contre lui. La chaleur de la pièce et de nos corps se mélanges et créer une atmosphère brûlante. Il me plaque contre le mur et actionne l'eau. Une eau gelée puis bouillante inonde nos corps complètements nus. Il quitte mes lèvres pour s'attaquer à mon cou à nouveau. Je suis parcourut d'une vague de chaleur intense et m'agrippe un peu plus à son corps mouiller. Mes jambes toujours noués autour de sa taille, je sens qu'il entre en moi. Aucune douleur, aucune protection, mais peu importe. Il accélère et sous l'eau brûlante, il me tiens fermement. Je m'accroche à son corps autant que je le peut, laissant des gémissements sortir. Plus il accélère plus mes cris se font entendre. Il m'embrasse pour me faire taire, on ne veux pas réveiller tout l'immeuble. Dans un dernier coup de reins intense, il vient en moi mais continue ses vas et viens pour me faire atteindre la même extase. Quelques instants plus tard, il me fait atteindre un fébrile gémissement étouffée contre sa peau. Mon corps tout entier est à lui et à la merci de ses derniers vas et viens.

-Putain c'était bon printsessa.

Je l'embrasse en redescendant de ses bras.

-Trouve moi un autre surnom que celui que me donner mon père, lui dis-je. Surtout après nos ébats.

Il laisse un petit rire de gêne sortir mais je l'embrasse pour le rassurer.
On se douche sans s'enflammer.

Quelques heures plus tard;

Je rejoint Ken au studio. Il m'a laisser vers 15h à l'appartement et là je dois le retrouver. Je tourne depuis dix minutes entre les pâtés de maisons mais il n'est écrit nul part « Seine zoo » ou un truc du genre. En plus Ken ne me réponds pas. Je tourne à une intersection en composant le numéro d'Hakim.