Lyse s'éveilla en sursaut. Toujours ce maudit cauchemar, ressassant sans cesse son passé. L'atmosphère devient plus lourde et l'endroit inconnu où se trouvait Lyse ne rendait pas la sensation plus merveilleuse. Si c'était Fa...non Akir ou Amir qui l'avait amenée ici, elle ne comprenait pas. Il y avait toujours leur chambre d'hôtel là. Lyse s'étira longuement et contempla la pièce où elle se trouvait. C'était une chambre radieuse et somptueuse. Que dire de plus, comme toujours ce type l'emmenait dans des endroit magnifique. Elle avait vue plus de chambres et de pièces élégante en quatre jours avec lui que toute sa vie. Lyse détestait de pas être dans un endroit stable, cette sensation de déplacement lui rappelait énormément son enfance.
Elle fit ensuite sa toilette et se mis à la recherche de celui qui illustrait à merveille l'homme fantôme.Cela faisait une demi heure qu'elle le cherchait. Dans sa recherche, elle en avait profiter pour visiter la magnifique demeure et à vrai dire elle avait oublier l'objet de sa quête en tombant sur cet atelier de peinture. L'endroit avait pour seul source de lumière les rayons du soleil. Elle était pourtant très lumineuse, on pouvait déceler des tableaux recouvert de tissu blanc et tous les matériel nécessaire à la pratique de l'art. Elle s'assit face à un tableau vierge et commença à peindre. Lyse exprimait tout ses émotions à travers des coups de pinceaux. Elle apportait une dernière couche, lorsqu'elle sentit une présence derrière elle.
- On dit souvent qu'un artistes peint souvent le fond de son âme et ses émotions. Lyse vos émotions son si sombre?
Elle venait de visualiser son œuvre. Lyse était abasourdie, elle avait peint la scène du crime de sa famille. Les images n'était pas identique à celle de ses soeurs et de sa mère, mais on décelait bien trois corps au sol baigné de sang et un homme au regard sanguinaire machette à la main, regardant un lit avec insistance. Pourquoi avait elle peint cela? Elle n'aurait même pas du essayée tout cours. Comment expliquer cela sans parler de cette sombre période ?
Amir la regardait toujours intensément en restant dans l'endrement la porte.- C'est vous qui m'inspirer cela, dit-elle se dirigeant vers la sortie.
Celui-ci s'approcha d'elle et lui maintint les épaules. Quand il souleva son menton pour lui faire croiser son regard, il y vit la même attente, la même envie, le même désir irrépressible. Il referma ses bras sur elle et l'embrassa. Les lèvres de Lyse s'écartèrent spontanément sous la caresse, son corps fondit contre le sien.
« Arrête ça tout de suite, se dit-il ! Arrête avant qu'il ne soit trop tard ! Tu vas la faire souffrir ».
Mais l'injonction demeura lettre morte. Lyse laissa échapper un faible gémissement, son pouls s'accéléra, il eut la sensation que ses veines charriaient de la lave brûlante. Amir glissa une main dans les cheveux de Lyse dont la tête se renversa en arrière, découvrant sa gorge. Fou de désir, il l'allongea sur le canapé et défit d'une main rendue maladroite par l'émotion la rangée de petits boutons qui fermait son chemisier. Les seins gonflés et ronds de Lyse débordaient légèrement de son soutien-gorge. Il les embrassa avec avidité puis, faisant glisser les bretelles, les dévoila dans toute leur splendeur. Il pencha la tête pour les savourer, les doigts de Lyse mêlés à ses cheveux le pressaient de continuer sa délicieuse exploration. Tout en sachant qu'il s'aventurait sur un terrain miné, il lui ôta sa chemisier et son soutien-gorge, et, après s'être débarrassé prestement de ses vêtements, il se mit à couvrir son corps de baisers. Alors qu'il s'attendait vaguement à une résistance, tout au contraire, le corps de Lyse s'arqua contre le sien et, comme il faisait glisser son jean sur ses hanches, elle frissonna de désir. Elle l'aida à quitter son jean à lui, et ils furent bientôt nus tous les deux. Il s'allongea alors sur elle ; et quand il écarta doucement ses genoux avec les siens, elle le contempla avec des yeux brûlant de passion.- Lyse, murmura-t-il, ma douce, je...
- Chut ! Ne t'inquiète pas, coupa-t-elle comme si elle devinait ses pensées.
Elle le serrait contre elle, chaude et frémissante. Elle était la seule femme capable d'assouvir sa faim en même temps que d'apaiser les tourments de son âme. Son regard rivé au sien, il s'enfonça dans sa tiédeur accueillante. Elle poussa un petit cri et il se souleva, mais seulement pour qu'elle se sente mieux.
- S'il te plaît, chuchota-t-elle, le corps tendu. Oh, s'il te plaît...
Il lui fit l'amour lentement, jusqu'à ce qu'il la sente trembler sous lui, qu'il entende son cri de plaisir. Alors seulement, il perdit toute maîtrise de lui-même. Quelques instants plus tard, il s'effondrait sur elle et l'embrassait comme il n'avait jamais embrassé une femme de sa vie.
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Sous L'emprise Du Sultan
RomanceQuand elle apprend que l'homme mystérieux dont elle porte l'enfant n'est autre que le Sultan de Boutir, Lyse n'a qu'une solution : la fuite. Lyse ne voulait pas d'homme dans sa vie, voilà pourquoi elle se trouvait dans cette situation. Elle n'aurai...