Chapitre 5

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Décidément, elle ne pourrait jamais s'informer. C'est en calmant ses ardeurs qu'elle rétorqua

- Oui?

- Le capitaine vous demande de venir immédiatement, lui lança celui qui devrait être Thomas.

Le " capitaine ", pourquoi pas son altesse. Il ne manquerait plus que les servantes et toute une cour. Une fois de plus, il l'empêchait de se renseignée. À croire qu'il le faisait exprès. C'est sans préambule qu'elle lâcha :

- Dîtes lui qu'une femme à besoin de temps pour se changer et qu'il arrête de me donner des ordres, je ne suis pas à son service.

- D'accord mademoiselle, je lui....je lui transmettrait votre message, bafouilla le jeune homme.

Elle entendit le bruit de ses pas s'éloigner, signe qu'il s'en allait. Enfin, Lyse se jeta sur son portable et entama une lecture des articles. Il y en avait tellement, qu'elle passa une demi heure à les lires. Chaque article parlait à peu près de la même chose. Sous vêtements coquin, préparation minutieuse. Mais il revendiquèrent aussi le faite de se sentir prête pour passer a cet acte. L'était telle réellement ? Lyse en doutait. Certes, il était irrésistible avec ses cheveux blond indomptables comme son propriétaire, ses yeux plus verts que les oasis et ses lèvres promettant milles plaisir. Mais était elle vraiment ce genre de femme prête à couchée pour juste obtenir ce qu'elle voulait, sans sentiments ? Lyse avait vécu les pires horreurs de la vie et en y réfléchissant, un enfant serait un cadeau merveilleux, mais pas dans ces conditions, pas pour un caprice. Ainsi, Lyse décida de profiter au maximum de son séjour sans réalisé son plan de départ. Elle enfila ensuite un jean  et un t-shirt qui faisait partie des vêtements que Fakir avait acheter pour remplacer ceux qui était brûlé par sa faute. Lyse se dirigea sereine vers la cuisine en songeant à ces trois jours de détente avant la reprises de sa vie de fuite.

- Quand même!! Ça fait longtemps que j'attends. Je ne vous est pas fait venir ici pour que vous rester enfermé dans vôtre chambre.

- Euh....oui, j'étais un peu perdue dans mes pensées.

- Mais que faite vous habillés comme ça ? Lâcha t-il. Vous n'avez pas vue la collection de maillot de bain que j'ai fait installé ?

- Je les ait bien vue. Ne vous inquiétés pas, je n'ai pas encore perdu ma vision. Poussez vous je vais voir ce que je peux cuisinier.

Elle se dirigea vers le frigo, tout en sentant son regard sur elle. Le frigo était vraiment bien garnis. Elle confectionna quatre sandwich au fromage ainsi que des oeufs au bacon. Pendant ce temps, Fakir la regardait comme si elle était un animal de cirque. Il se dirigea ensuite à grande enjamber vers elle. Dans la panique, elle recula jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'issue. Fakir lui enlaça la taille et regarda au fonds de ses iris. Leur lèvres n'étaient qu'à quelques centimètres. Elle essaya de le repousser, mais le mouvement de ses mains sonnaient plus comme une invitation. Il enduit sa tête dans son coup et elle gémit son prénom

- Fakir...

A l'écoute de sa voix, il s'éloigna d'elle et bafouillant des sons inaudibles avant de s'en aller.
Pourquoi ce changement brusque ? Avait-elle.... ? Non, c'est lui qui s'était approché d'elle et non le contraire.
Alors, qu'elle finissait de faire le café, elle entendit leur voix s'approcher. Elle disposait les assiettes sur la table quand Thomas et Frédéric venaient l'aider. Mais bien sur, sa majesté était trop digne pour ses tâches. Le repas se passait en silence quand Fakir prit la parole

- C'est mangeable, rétorqua t-il

Là s'en était trop, après avoir terminer son plats, elle se dirigea vers sa chambre. Comment se permettait il des réflexion aussi égocentrique ? Les deux jeunes hommes n'avaient même pas pris sa défense, comme s'il avait peur de lui. Elle allait leur montrée ce qui était mangeable. Où était ces fameux maillots de bain? Elle allait se vengée. Parmi tous ces maillots, elle choisi un deux pièces couleurs blanche avec un décolleté assez plongeant et fit deux nattes à ses cheveux. La glace lui renvoya un image qu'elle n'avait jamais vue d'elle. Qui aurait pût croire que la petite Lyse aurait des atouts de séduction. Elle attendit dix minutes le temps de s'habituer à son apparence et se dirigea à l'extérieur du bateau. Elle les trouva allongé sur des transats en pleine conversation. Lorsqu'elle passa, elle sentit qu'elle n'était pas passé inaperçue. Elle s'allongeait sur un transats quant-elle entendit Fakir ordonné à ces pauvres jeunes hommes d'aller s'occuper du bateaux. Elle sentit ensuite une énorme serviette sur elle. Et lorsqu'elle ouvrit les yeux, elle vit le regard noir et plein de désir de Fakir se poser sur elle.

- Que faites-vous, lança-t-il d'une voix raillée.

Sous L'emprise Du SultanOù les histoires vivent. Découvrez maintenant