Chapitre 3

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Le grand jour était enfin arriver. J'avais l'adresse de mon appartement et celui du laboratoire. Il faudra que j'y aille afin de rencontrer le scientifique qui s'occupera de moi. J'ai tellement hâte. Noémie, Nathan et ma grand-mère étais là et attendais tout comme moi, que mon vol soit appeler. Ma grand-mère avait les larmes aux yeux tandis que mes amis, eux, souriait mais je savais qu'ils étaient triste de mon départ. Une voix de femme se fit soudainement entendre à travers l'aéroport.

-Les personnes du vol Chicago-Londres, sont prié de se rendre à l'embarquement.

Mes minutes à Chicago, allais se compter restreinte. J'enlaçais mes deux amis, les larmes aux yeux. Je me dirigeais ensuite vers ma grand-mère. Je pars peut-être pour deux ans. Mais dans mes conditions, c'est un peu compliquer. Bref. Mes larmes coulèrent à flot sur ma grand-mère. Tout comme elle.

-Tes parents auraient vraiment été fier de toi. Me chuchota-t-elle a mon oreille. Je prenais mon sac et partait vers la porte d'embarquement. Ma famille me faisait les signe de main en guise d'au revoir. Londres, me voilà. J'étais assise à la fenêtre mes écouteurs en oreilles en attendant que nous décollons.

***

Des douanes passées, mes valises en main, j'observais Londres dans tout ses recoins. Le chauffeur m'aide à amener mes valises à mon appartement après avoir obtenu mes clés. Un petit appartement, comme j'aime. Chaleureux. Une chambre, une cuisine avec un îlot, un salon et une salle de bain. Un bain-douche pour me laver. J'aime cet appartement. Beaucoup même, je me sens comme chez moi. Je m'installe, il n'y a pas grand chose à faire puisqu'il est meublé. J'installe mes vêtements dans mon garde robe et vais dormir à cause du décalage horaire.

Je me réveille et regarde l'heure qui est inscrite sur mon téléphone. 20h17. Il doit être 14h à Chicago. Je peut donc les appeler. Mais...je suis trop fatiguer alors j'envoie un message au trois avec de me lever de ce lit moelleux. Maintenant, mien. Et je me dirige vers mon frigo-rien. Normal, puisque je viens d'arriver. Je commande alors, du thaï. J'avais une envie folle de thaï. Une fois le thaï arrivé, je m'instale devant Clown. Un film d'horreur qui fait peur pour vrai. Il m'a glacée le sang. J'allais me coucher après avoir fait ma routine du soir. J'avais tellement hâte au lendemain mais je devais premièrement réussir à m'endormir...

***

Je me levais mais étrangement, mon réveil ne sonnait pas. Je regardais l'heure, oups! Il est huit heure et demi. La réunion commençait à huit heure. Je sautais donc de mon lit et m'habillais à la vitesse de la lumière. Je me brossais les cheveux et partais sans même prendre le temps de prendre des restes de thaï. Je n'avais pas le temps d'attendre le bus alors j'ai accouru vers la grande bâtisse. J'ouvre les grandes portes avant d'apercevoir...le directeur entrain de faire son discour. Je sens tout les regards braqué sur moi et alors que je marchais, mon écharpe m'a visiblement lacher puisqu'elle s'est retrouvé sous ma chaussure. J'étais donc entrain d'embrasser le parquet. Un gros brouhaha se fit entendre parmi tout le monde. Je sentais mes joues brûler. Je courrais pour aller m'asseoir au côté d'une fille qui avait environ mon âge. Elle essayais d'arrêter de rire mais n'y arrivais pas.

-Salut, je m'appel Wendy, toi? Me demanda-t-elle après enfin avoir fini de rire.

-Léa, Léa Brown...dis-je à la nommé Wendy.

Elle me raconta un peu sa vie, le fait qu'elle venait du canada, elle a deux grands frères. Des jumeaux. Niveau physique, elle étais blonde, grande et mince. Ses yeux étais noisette, un très beau noisette.

-Toi aussi tu es venu pour Alec Hord? Me demanda-t-elle avec quelques étincelles dans ses pupilles.

-Je ne sais pas qui c'est...dis-je en haussant les épaule et me retournant vers le directeur qui avait, j'espère, bientôt fini son discour.

-Mais voyons, il es beau, son père est le directeur d'ici et il est RICHE. Rétorqua Wendy en insistant sur le mot riche.

Elle me le pointa discrètement à travers les apprentis devant nous. De loins, je ne voyais que ses cheveux brun. Je ne voyais pas ses yeux. D'après moi, ce qui nous rends beau et unique, sont nos yeux. Je ne peut donc pas dire s'il est beau ou pas. Le directeur commença enfin à nommé les équipes. Plusieurs scientifiques partais avec des apprentis comme moi. Une scientifique arriva soudain. Elle étais rousse et avais l'air comme moi alors je priais donc pour que ce soit moi. Mais...non. C'est Wendy qui l'a eu. Elle qui voulait tellement être avec le garçon dont j'ai oublié le nom.

-L'apprentis qui sera jumelé avec Alec Hord sera...dit-il avant de pigé dans le gros bac, Léa Brown. Dit-il en regardant toute les filles dans les apprentis.

Je ne voulais vraiment pas être avec lui. Il es du genre à être le centre de l'attention des gens, je ne serais jamais en paix. Je voulais passer inaperçus malgré ce petit incident d'arriver. Je me levais alors que certaine fille me lançait des regards noir et d'autre me disait que je n'étais pas assez belle pour lui. Je courrais donc à ses côté. Enfin hors de la grande salle, je lui lançais un "bonjour", sans réponse. D'accord...Nous arrivons enfin dans notre laboratoire; le laboratoire 101. Une table se présente devants nous et nous nous y asseyons. Il me fixe en secouant la tête de gauche a droite. Je le dévisage un moment avant qu'il prenne la parole.

-Je suis Alec, enfin tu le sais déjà. Je sais que tu es venu ici pour moi, comme toute les autres. Me dit-il froidement.

Comme si le monde tournait juste autour de lui. Je suis la, moi.

-Eh bien, de un, désolé de te l'apprendre, mais je ne suis venu ici que pour ma passion et de deux, il n'y a pas que toi ici, J'EXISTE. Dis-je d'un coup sans m'en rendre compte, je plaçais mes mains sur ma bouche.

Je sentais mes joues brûler. Venais-je sincèrement de sortir ça comme ça? En plus celui qui pourra m'attirer le plus d'ennuis. Il se leva d'un pas raide et se plaça en face de moi après m'avoir levé. Je fermais les yeux le plus fort possible par peur qu'il lève la main sur moi. Quelques instants plus tard, je n'avais toujours rien j'ouvris alors les yeux pour apercevoir qu'il me regardait avec de la tristesse.

-Tu pense vraiment que je puisse lever la main sur une femme? M'a-t-il dit.

Je venais de réaliser que je l'avait blesser. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai ressentis un pincement au cœur en le voyant si triste.

-Non, désolé...je...je suis désolé! Dis-je avec difficulté.

-Ce n'est pas grave, nous allons travailler les éléments. Dit-il froidement avant de se diriger vers le comptoir qui nous sert de plan de travail.

Je ne voulais guère travailler les éléments, en plus qu'il m'a parler froidement tout le long. Je me sentais mal en même temps de ressentir de la colère. Le reste du temps, il ne m'a pas parler (ou presque) et m'a fait dire les éléments. Bien-sûr, je n'avais aucune erreurs. Enfin le temps fini, je suis allé à l'arrêt de bus en apercevant qu'Alec était à son auto avec une dizaine de femmes autour de lui.Je ressens un étrange pincement au cœur. Je secoue la tête de droite à gauche, toujours en le fixant, avant de retourner à ma course pour l'arrêt de bus. Finalement, j'ai décidé de courir pour me vider l'esprit suite à cette journée...quelque peu ratée.

Pour finir mon film, je me pris une autre part de pizza. Je regarde Unfriend, encore! À la fin du film, je regardais derrière moi, juste au cas où. Rien, ouf. J'enfilais mon pyjama et allais dans mon lit regarder quelques épisodes de Big Mouth. Par quelques, je veux dire deux saisons entière...Bref, je m'endormis à environ deux heures du matin, trop fatiguer pour garder les yeux ouvert.

J'ouvre les yeux avec de la difficulté. Je me lève prend mon téléphone pour apercevoir qu'il est...huit heure quarante-cinq?! Je n'ai pas le temps de manger, le stage commence à neuf heure. Je me fait une queue de cheval enfile une robe en jeans et cours vers l'immeuble. J'ai terriblement faim mais je sais qu'Alec ne me laissera jamais aller manger avant le dîner. Je courrais jusqu'à ce que j'aperçoive au loin un papillon bleu, magnifique. Je ne sais pas je suis rester combien de temps à le contempler avant qu'il parte me laissant fixer le bouleau. Je courrais encore plus vite car je venais de réaliser que j'avais été distraite par un papillon. Pour ma défense, il était magnifique...Bref, je courrais de nouveau, mais j'avais une robe, alors pas facile d'aller bien vite quand du tissu rebondis quand tu bouge. C'est pour cela que je n'aime pas mettre des robes. Je passe devant, peut-être, cinq restaurant qui sentait très bon. Je me retenais fortement de ne pas y entrer et dévaliser la cuisine. J'ai toujours très faim en me réveillant...

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