Imagines Coopératifs Avengers

Jour 15

T'challa /premier baiser
Écrit par: @bluebulle

Ça faisait bientôt un mois que tu étais au Wakanda. Tu ne savais pas trop ce que tu faisais ici car l'homme que tu es sensé épouser ne te parle jamais c'est à peine si il connait ton existence. Le prince du Wakanda est bien trop occupé à faire mumuse avec son armure de chaton pour passer du temps avec sa fiancée.
Vos parents avaient été clair. Vous deviez vous mariée mais ils vous laissait un an car ce n'était non plus des monstres et si vous ne vous entendiez pas du tout, ils n'allaient pas vous obligé non plus. Malheureusement, T'challa n'avait pas l'air de comprendre ce qui allait se passer. Si tu faisais rien, tu allais être dans le caca. Ton pays avait besoin de cette alliance sinon c'était la crise économique pour lui.

Tu étais donc encore une fois seule, dans ce grand château où tu ne connaissais personne. Tu te faisais, on va pas se le cacher, carrément chier. Tu n'avais aucune idée quoi faire ni où aller parce que personne n'avait vraiment prit le temps de te faire une visite.

Prit d'un courage sans nom, tu décidas d'aller chercher une bibliothèque. Vue comment ce palais était grand et le peuple évolué, une pièce de ce genre devait quand-même exister. Tu sorties de ta chambre que tu ne quittais jusqu'à maintenant que pour les repas et tu te mis cherché la fameuse bibliothèque.

Tu marchas à travers les couloirs sans but te disant que si le destin était avec toi tu l'as trouverais d'instinct. Mais c'est pas sorcier dans un lieu que tu ne connais pas, tu te perds forcément. Voilà. Comment tu t'es retrouver dans un hangar à avion. De toute part des caisse, des avions et des gens, des déplacements de toute part. Du bruit se faisait entendre de tout part créant un vacarme infernale. Tu étais perdu dans tout les sens du terme. Tu n'avais aucune idée de où tu étais vraiment. On te bousculait sans faire attention à toi. Tu compris enfin où tu étais sans être rassuré, quand un aéronef noir avec des drapeaux du Wacanda et un visage de panthère se posa dans un grand bruit. C'était celui du prince, ton future époux d'amour.

Une porte s'ouvrit sur l'engin laissait voir T'challa dans son armure. Il avait gardé son casque et tu étais plutôt loin mais tu repèras tout de suite ce qu'il était dans un sale état déjà dans sa façon de marcher qui était «légèrement» boiteuse et l'agitation anormale, que tu compris grâce aux différents visages stressés et légèrement peureux.

Il fallait malheureusement l'avoue il se trouve que tu étais peut-être un peu beaucoup sous le charme du protecteur de ce pays et le voir comme ça aussi mal au point faisait sortir des instinct maternel et tu te précipitas vers le prince.

Les gardes et autres accompagnateurs furent étonné de te voir débouler dans leur champ de vision comme ça sans rien dire. Le prince qui s'était assit sur une caisse et avait enlevé son masque ne montra aucun sentiments comme si il l'avait gardé et ne fit que juste te fixer. Tu te sentis toute gêné avant de voir l'arcade sourcilière gauche de T'challa et de te ressaisir tout de suite.

Tu avais quelques notion de médecine parce que, voulant que tu sois cultivé, t'avais envoyé faire des études dans la médecines (ainsi que dans le droit, dans le cinéma et tout les autres arts, le commerce, les langues,...). Les autres avaient l'air perdu alors que leur prince même si il essayait de la cacher le plus possible, souffrait le martyre. Tu pris une trousse de secours qui avait été posé sur une autre caisse. Tu te plaças devant  ton fiancé qui là montrait son étonnement.

Tu pris une compresse et ce qui devait être du désinfectant. Tu mis le produit sur la bande de tissue et tu te mis  tamponner tout autour de la blessure. Tout le monde semblait avoir le souffle  coupé, personne n'avait encore touché au prince sans son accord. Pourtant le blessé ne fit rien a part grogner quand tu appuyait trop fort.

Sa blessure était plutôt profonde mais n'avait pas touché ni même frôler la boite crânienne. Tu allais donc facilement le ''réparer''. Tu te tournas vers un petite groupe de personnes qui comme tout le monde ne savait que faire ni où se mettre. Tu leur demandas  sur un ton peut-être pas très gentil si ils avait de plus grand pansement que ce pour ampoule présent dans le quitte. Il fallait dire que la blessure avait beau être facile à soigner, elle pouvait donc facilement s'infecter.

Un des technicien rentra dans le vaisseau avant de ressortir rapidement un sac blanc à la main. Le graal des médecin, ce sac contenait un nombre incalculable de pansement, sparadraps et bandages en tout genre. Tu remercias l'homme d'un doux sourire et tu piochas un pansement plutôt simple de la taille de la blessure. Tu re-désinfectas la blessure, toujours sous le regard perçant de l'héritière qui te servait de fiancé, ce dernier semblait vouloir lire à travers toi, tu ne savais si il réussissait ou pas.

Avec une grande précaution, tu plaças le pansement que tu avais imbibé de bisseptine de façon à ce qu'il aide la blessure à cicatriser.  Le prince lâcha un petit grognement. Il ne fit rien pour te remercier, il continua juste à te fixer sans rien dire avec ses ,tu devais bien l'avouer, magnifiques yeux marron. Tu soutenus son regards que certaines qualifierait de braises.

Il approcha avec empressement sa tête de la tienne avant de te frapper doucement et peut-être amoureusement vos lèvres. Tu restas quelques secondes stoïques, les yeux grands ouverts avant de réagir. D'abord tu fermas les yeux,  tu plaças tes mains dans ses cheveux avant de commencer à approfondir le baiser.

~~~

«Que puis-je faire pour toi pour te remercier ?
-Ce n'est rien je m'hérite donc rien même si j'avais fait un gros, je ne voudrais rien.
-Tu es sûr ? Tout le monde ici à une faveur à demander au future roi.
-maintenant que tu le dis...j'ai peut être un truc.
-Vas-y je t'écoute.
-Où se trouve la bibliothèque ?»

Le prince te regarda quelques secondes prenant le temps que la demande pourtant si banal mais tellement original pour lui. Il te regarda espièglement avant de dire :

«Suis moi, je vais te montrer le chemin et peut-être aussi celui de notre future chambre