- Mais tu veux quoi zebi ?! Dis le moi maintenant, j'ai fait ce putain de trajet, je suis venu jusqu'ici pour toi, j'galères avec tes tmeniks de princesse et en plus tu me fais toujours la gueule. T'as besoin de quoi Camélia oh dis heja ?
- Mais...
« J'aime voir le ciel🌅, j'aime ce silence. Alors ferme ta gueule🤐, j'perds pas le nord nan j'ai l'courage qui emmerde ma peur🖕🙈 »
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Salam Aleykum.
Ce matin j'me réveille, il est 5h30 c'est bientôt l'heure de Fajr. Je lave mon visage, enfile mes baskets et sors de chez moi pour aller sur le toit de la cité. W'Allah la vue d'en haut elle est magnifique, j'respirais l'air frais et regardais le ciel qui s'éclaircissait petit à petit devant mes yeux. J'repensais à ce que j'ai constaté hier soir chez moi. J'aime Zaafîr, ça me fait mal parce que j'sais très bien que lui il s'en fout... Mais qu'est-ce tu veux y faire, quand t'es presque h24 avec un gars qui te console et t'aides à te relever, t'as pas d'autres moyens que de tomber amoureuse de lui...Sachant très bien que lui est moi c'est impossible à cause du stop qu'il m'a lâcher hier, bah je sais plus du tout comment me comporter avec lui, j'allais encore une fois versé des larmes mais j'ai tout de suite repensé à la phrase qu'il m'avait dit : " Camélia je te le dit tout de suite à partir d'aujourd'hui je veux plus jamais te revoir pleurer, compris ? Alors vide tout ton réservoir maintenant parce qu'a partir de demain c'est fini ça. " Donc j'ai direct essuyer mes larmes. Je continuais à penser à lui quand je sentis une personne se déplacer derrière moi, je ne fis rien et continue à regarder le ciel. Cette personne se met à côté de moi et se met elle aussi à regarder le ciel, c'est Zaafîr.
Zaafîr : Toi aussi t'es venus ici.
Moi : Hmm.
J'me sent honteuse de ouf après ce qu'il s'est passé hier...
Un silence pris place avant que je décide de reprendre la parole.
Moi : Zaafîr à propos d'hier...
Zaafîr [ en me coupant ] : Laisse tomber on oublie.
Moi : ...
[...]
Moi : Zaafîr...
Zaafîr : Ouais.
Moi : Tu connais toute ma vie, mais moi j'connais presque rien de toi.
Zaafîr : Qu'est-ce tu veux savoir ?
Moi : Bah déjà, j't'ai jamais demander mais tu travailles dans quoi ?
