Chapitre 37

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Trois mois étaient passés, j'étais toujours avec Glen mais j'étais au plus mal, et encore une fois je ne le montrais pas.
Il me rabaissait la plus part du temps, se moquait de ma famille, se moquait de moi et m'insultait. Il prenait ça à la rigolade, mais il était le seul. Au déburt je me criyais parano mais toutes les peronnes autour de lui dans le lycée avec qui il se comportait de cette maniere n'en pouvait plus et ne le supportais plus, et il ne remarquait rien pour autant.

Un jour, j'étais malade et le comportement de Glen avait été de trop. Il n'avait prit aucune nouvelle de moi et ne s'était même pas rendu compte que j'étais absente. A l'inverse, Thomais l'avait fait.
Quand j'étais revenue au lycée j'avais fais la gueule a Glen pendant une journée entiere, on s'était engueulé, puis il s'était excusé. Malgré tout nous sommes réstés deux jours en froid, je ne voulais pas lui parler, et je m'étais rendue compte que je ne l'aimais plus, il m'avait fait trop de mal dans le passé, alors pourquoi retourner vers lui ? Ça ne servait à rien ! Mais je l'avais fais, j'avais été débile.
Pendant ces deux jours Morganne avait eu une très bonne idée, un jour, comme nous avions cours que l'après midi, elle m'avait proposé de se voir un peu avant la cantine histoire de décomprésser. Elle avait ramenné des bieres, ainsi que trois autre alcools et bien sur de quoi fumer.
Au final, nous étions arrivées totalement défoncées en cours, et certaines personnes de la classe l'avair remarqué, sauf la prof, et encore heureux.
Ce jour là, j'avais croisé Glen, et il était totalement paniqué, honnetement je ne me rappelles plus de ce qu'il m'a dit, je sais juste qu'il n'a pas cessé de me répétee que j'etais un peu trop alcoolisé, ce que je savais déjà bien evidemment, comme c'était le but. Ça m'avait permis de faire le vide, d'oublier pendant de cours instants, et ça m'avait fait du bien.

Le lendemain de ma bétise, je fuyais Glen, mais à mon plus grand malheur il me retrouvait à chaque fois. Jusqu'au moment ou lorsque j'étais entrain de fumer toute seule à coté du gymnase, avec ma musique pour seul soutient je décidais de lui dire clairement que c'était fini. A ce moment là mon coeur s'était dechiré quand je m'étais rendue compte qu'à cet instant precis il venait de vivre ce qu'il m'avait fait subir. La roue avait tournée et je n'avais pas apprécié puisque faire du mal aux gens à toujours été ma hanthise. Il avait tant bien que mal essayé de me récupérer le soir même, mais je ne voulais pas revenir sur mes positions.
Heureusement pour moi le week end qui arrivait allait être un de mes meilleurs week end.

Loin du bonheurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant