A l'état d'être perdue, entre la frontière infantine et adultère...
La réalité et la société ne nous font pas de cadeaux. Suis cette voie pour ressembler à tous. Suis cette voie pour être intégré.
A l'état d'être perdue, entre la frontière apeurée et la volonté de s'y rebeller.
Des personnes complexées finissent par enfoncer d'autres personnes plus faibles. La hiérarchie de la douleur ne s'en finit jamais.
A l'état d'être perdue, entre la frontière unissant, se complémentant et se rompant.
A force de détruire ces ponts qui nous unissent, nous finissons par être seuls. Le rejet noircie notre pensée.La tristesse abime notre âme. La solitude détruit notre corps. Et les préjugés rompent notre spiritualité de la bienveillance et du bien être...
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Les maux, les mots libérés du coeur
PoetrySuite de mon recueil "Mots dits, maux dits, maudits".