The Styles Brothers

o n e

Présentement, nous somme le 29 août. Il est 21h et 36 secondes précisément. Il me reste encore onze heures de liberté. Enfin, si rester dans sa chambre à lire est se qu'on appelle la liberté, c'est ce que j'avais. L'été tire a sa fin et le mois que je déteste le plus est arrivé. Le mois de torture est arrivé. Le mois ou les élèves m'insulte et me frappe est arrivé. Le mois du début scolaire est arrivé. Ce bordel de mois de septembre débute.

Étendue dans mon lit, fixant le plafond, je me demande si je réussira à avoir des amis cette année. J'aimerais avoir une copine. Ou simplement avoir quelqu'un avec qui aller au bal de promo. Car je suis en ma dernière année. Et je veux quelle sois différente des autres. Je veux que l'on me respecte. J'aimerais faire ma loi dans l'école, comme mon frère la fait auparavant. Même si je n'étais pas d'accord au fait qu'il réglait tout avec la violence, il étais le plus honoré de l'établissement.. mais aussi le plus détesté. Depuis qu'il sais fait transféré d'école pour trouble d'agressivité, tout le monde me met sur le dos ce qu'il leur a fait subbire. Je peux vous dire que des coups au visage j'en est eu des tonnes. Des insultes sur mon habillement ou mon corps ne sont pas rare. Une fois j'ai essayé d'avoir, moi aussi, des vêtements de marque comme tout le monde. Mais malheureusement quand j'étais en éducation physiques, ils se sont fait jeté au toilette.

Ce qui est le pire dans l'histoire est que je ressemble à Harry comme deux gouttes d'eau. La seul différence est que je suis affreux. A force de me le faire dire à tous les jours, j'y crois.

Lentement, je sombra dans le doux sommeil de la nuit.

Un affreux son me réveilla. Un bruit répétitif et fort se faisait entendre dans ma chambre. Je m'assis tranquillement sur mon lit et m'étira. Je frotta mes yeux et pris mes lunette sur mon bureau situer au côté de mon lit. Avec un mouvement de rage je donnas un fort coup de poing sur l'objet qui émettais du bruit. Surpris par moi même je me figea. Serais-je entrain de devenir comme mon frère? Non, jamais. Ma main me faisais horriblement mal et je regretais le geste que j'avais fait un instant plus tôt. Je me lèva de mon lit douillet et me dirigea vers mon garde-robe. J'enfila une chemise et une cravate. Je mis une laine par dessus et enfila un pentalon beige. . Je me dirigea péniblement vers la chambre de bain. Je me vis dans le miroirs et soupira. Aussi affreux qu'avant.J'ouvris l'armoire et sortis le gel à cheveux. J'étalas une épaisse masse sur mes cheveux brun foncé. Je me brossa les dent et releva la tête vers le miroirs. Je replaça mes vêtements et me dirigea vers la cuisine. Ma mère étais présente avec mon père.

-"Bonjour." murmurais-je.

-"Bonjour Marcel! Je t'ai fait des crêpes."dit ma mère d'un air faussement enjoué.

Je m'assis sur une des nombreuses chaises autours de la table. Mes yeux ne sont pas encore habituer à la lumière du jour et ils chauffent.

Mon père me regarde et me fait qu'un petit sourire au coin. Mes parents savent que l'école est dut pour moi mais ses la meilleure pour avoir une chance de pouvoir entrer à Harvard. Ma mère installe une assiette avec des tonnes de petit fruit et deux crêpes placer au milieu.

Je commence a manger et me rappelle de l'incident qui est survenue ce matin.

-"Maman?"

-"Oui, chéri?"

-"J'aurai besoin d'un nouveau cadran."dis-je entre deux boucher.

Elle fit une drôle d'expression mais ce contenta de seulement hocher la tête en signe d'abrogation. Ayant déjà terminer de déjeuner, je pris une pomme sur le comptoir et partis vers la porte. J'avais seulement mis deux pieds dehors que j'entendis ma mère me crier quelque chose.

-"Marcel! Tu as oublié ton cartable!"

-"Merci maman. "

Je le pris et le passa par-dessus mon épaules droite.

-" Passe une belle journée de rentré mon fils." dit-elle le sourire au lèvres.

-"Je ferai mon possible."dis-je avec un sourire faux.

Je commença donc à marcher pour me rendre à l'endroit que je déteste le plus au monde.Je vis au loin l'établissement dans laquelle je vais passer un bon dix mois d'enfer. Je soupira silencieusement. Sérieusement, si ce n'étais pas pour Harvard, je serais partis il y à longtemps.

J'étais entré dans le campus. Un bon début de fait. Maintenant passe inaperçu.J'observais le terrain de football avec les gradins autour. J'allais souvent a cette endroit pour regarder Harry y jouer. Il était très bon et moi j'étais qu'une grosse mauviette à ne pas vouloir jouer. Je me fomdat dans la masse du troupeau qui attendais à la porte pour pouvoir rentré. C'est con, mais les professeur insiste à chaque année de faire un discours dehors avant l'ouverture des portes pour la nouvelle année. Tandis que j'essayais de reculer, une main tapotas mon épaules. Oh non pas déjà. Je fît en sorte de l'ignorer mais les petites tapes recommencèrent de plus belle. Je me retournas et la regarda d'un air dur.

-"Qu'est-ce que tu me veux?"lui dis-je méchamment.

Elle releva la tête et je rencontra pour la première fois ses yeux noisette. Un sourire désolé s'installa sur son visage.

-"Désolé je suis nouvelle et j'ai su que sais toi qui va être en charge de moi pour me présenter le lycée."

-"Oh ,fis-je doucement, très bien. Je m'appelle Marcel Styles."

-"Et moi je suis Heather Smith."dit-elle un sourire au lèvre.

Elle étais bien plus petite que moi. Elle jouait avec ses doigts se qui lui donnais un air stressée. Ses grands cheveux blonds virevoltais grâce au vent présent. Après un moments à la regarder, je me tourna et porta mon attention au directeur. Ce dernier faisait son monologue d'un ton enjoué.

-"De quoi parle-t-il?"me chuchota Heather à l'oreille.

Je tourna ma tête vers elle. Je n'avais pas remarquer comment elle étais proche de moi avant maintenant. Je commença à regretter d'avoir mis plusieurs couche de vêtement sur moi car la chaleur montais en flèche.

-"Du conseil d'élèves de cette année."lui dis-je chuchotant à mon tour.

-"Ah, d'accord."

Je retourna ma tête vers la petit scène en avant. J'essayais de me concentrer mais bien malgré moi la présence de Heather ne me gardais pas indifférent. Je sentais son doux parfum à la vanille et ses cheveux me chatouillais la main gauche. Sa respiration lente et régulière étais  apaisante et relaxante. Je relevas mes épaisse lunette sur mon nez.

Après un bon moment, le directeur finis enfin son grand discours.

-"Bien,dis-je à Heather, allons chercher nos horaires.

-"Oui! J'espère que nous serons dans les mêmes cours."dit-elle enjouée.

Mon coeur se serras, jamais personne ne m'avait dit cela. Je sens que je vais passer une belle journée.