The Styles Brothers

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Je souris chaleureusement au professeur. J'avais une drôle impression de déjà vue. Peut-être lavais-je croisé dans la ville? Habite-t-elle ici?

Pendant que je repris place à mon bureau, ma tête se remplissait de question sur elle. Avait-elle des enfants? Depuis combien de temps voyage t-elle?

Les élèves bruyants rempli vite l'atmosphère autours de moi et le cour commença.

Elle s'introduit entend que Bertha Eberts. Professeur depuis son jeune temps. Quelques idiots se moqua de son âge la traitant de "vieillarde" mais Bertha rétorqua facilement aux insultes.

Elle fît des simples blagues, qui me mit le sourire aux lèvres. Je l'aimais bien.

Son cour passa extrêmement vite, ce qui m'étonna. Habituellement, je trouve les cours ennuyant et déplaisant mais celui-ci était agréable. Malgré les bouts de papiers que les gens dernière moi me lançais, je réussi à voir que du bien à ce cour.

J'empila mes cahier et mes feuilles en ordre et je fut, bien sûr, le dernier à sortir de la classe.

Quand je fût sur le point de mettre un pied en dehors, une voix me retiens.

-"Marcel, puis-je te parler quelques minutes? "me dit la voix.

Je me retourna et vu Madame Ebert me regardant, assis sur la chaise en face de son gros bureau en chêne. Je fis une dizaine de pas, pour

me retrouver en face d'elle

-"Oui, bien sûre madame Eberts." répondis-je gentiment.

-"Tu n'a pas besoin de m'appeler madame Eberts, Marcel. Seulement Bertha sera suffisant. "

J'hocha la tête et mémorisa cette information.

-"Je me demandais si tu voulais que j'intervienne." dit-elle.

Elle me fit un drôle de regard. La vielle femme détourna son regard de sur moi, portant maintenant attention aux objets farfelus placer devant elle

-"Pour quoi donc?"dis-je la surprise claire dans ma voix.

-"Pour ses imbéciles qui te lance des choses en cours. "

Je rigola un peu de sa réponse. Je ne la voyais pas utiliser ce language.

-"Non, ça va aller. J'y suis habituer."dis-je cachant mon embêtements pour les personnes qui me lance des choses.

-"Je vais vous changer de place."dit-elle d'une façon téméraire.

Je lâcha un soupire. Mes livres commence à être plus lourd qu'à l'habitude et j'aimerais partir d'ici pour ne pas être en retard à mon prochain cour.

-"MadameEberts, s'ilvo-"

-"Bertha, jevouspris."me coupa-t-elle.

-"Bertha.. s'il vous plait, ne me changée pas de place. Je suis bien ou je suis. Mais pour l'instant, je dois vraiment y aller. Je vais être en retard."

Bertha me regarda avec un regard profond. Quelque chose se cachait derrière ceux-ci.

Elle soupira mais me souris.

-"C'est bon. Vou sêtes libre. Hop, filer!"rigola-t-elle.

Je lui fis un sourire et sortis vite de cette endroit.

C'était tellement bizarre comme discussion. Sérieusement, étrange mais chaleureux.

Le reste de la journée se passa lentement. Mes cours était rempli de présentation et de nouvelle personne.

Je ne parla à personne, mis à part Bertha, aujourd'hui. Quand je franchi la porte d'entrée de ma demeure, je fus soulager.

Une douce odeur de soupe fît vite sa présence. Je n'avais pas faim, mais la simple cuisine de ma mère me mis l'eau à la bouche.

-"Bonjour, je suis rentré." criais-je.

J'enlèva mes soulier et posa mon sac sur le support proche de la porte. Je franchi le couloir pour me rendre à la cuisine.

-"BonjourMarcel. Àtupasséunebellejournée?"me demanda ma mère les yeux posé sur son chaudron.

Je pris place sur une des chaises proche de la table à manger. Je pris un petit pain dans le plat devant moi.

-"C'était.. correct." dis-je entre deux boucher.

Elle se retourna et me souria.

-"Bien. "

Mon père entra dans la cuisine avec un journal, comme à son habitude. Il pris place sur une chaise devant moi et commença sa lecture.

-"C'est affreux!" s'écria mon père.

-"Quoi donc?" lui demandais-je surpris.

-"Le lait est à sept dollars!"dit-il sur un ton d'horreur.

Ma mère me jeta un coup d'œil et pouffa de rire. Mon père nous regarda d'une mine blessé.

-"C'est des blagues, chéri. C'est effectivement affreux."assura ma mère, me faisant un sourire.

J'aida mes parents à mettre les couverts. Quand nous étions tous assis à la table près à mangée, je remarqua une assiete de plus.

-"Y a t-il un invité se soir?"demanda curieusement.

Quand mon père s'apprêtait à répondre, un cognement à la porte ce fit attendre.

Je me leva pour répondre.

-"Non, Marcel. J'y vais."

Avant qu'elle pu faire quoi que ce sois, je mis ma main sur son épaule l'empêchant.

-"J'insiste."

Elle me regarda..inquiète? Que ce passe-t-il?

Je traversa le couloir à la hâte. Cette histoire était définitivement étrange.

Quand j'arriva à la porte, tout se passa trop vite.

En un instant, une grande silhouette s'imposa en avant de moi. Je releva mes yeux pour m'apercevoir du visage..

-"Hey p'tit frère! Tu t'es ennuyé de moi, tappette?"

Mon corps entier se raidi.