J'étais la, assis par terre, seul dans la minuscule forêt qui entourais l'école. Mes larmes avait stopper, mais je savais très bien que mes yeux étais encore rouge et gonflé. Je ne savais pas pourquoi cela me touchais autant. Pourquoi sa présence m'avait affecté aussi vite. Pourquoi je me sentais si bien avec elle. Mais j'imagine que je dois tout oublier. Peut-être que je ne suis pas fait pour moi des "amis"? C'est peut-être moi qui à un problème? Je ne suis peut-être pas normal?
Je secouais la tête, et arrêta d'alimenter mes pensée négative. Je ne sais pas comment de temps j'ai rester ici, mais je ne vois aucun sens à retourné aux l'école. Je me leva difficilement du sol. Je suis trop gros. Je dois maigrir. Peut-être que les autres m'aimerons mieux plus maigre?
Je soupira, j'étais encore entrain de me trouver plein de défaut. Je me dirigea péniblement vers ma maison. Je pris un chemin où qu'aucun élève ou enseignant ne puisse me voir.
Après avoir marcher un bon vingt minutes, j'arrivais à l'arrêt de bus. Je n'avais pas d'argent pour payer le ticket alors j'étais condamné à faire le reste trajet à pied. Le bas de mes pantalons étais plein de terre et mes souliers également.
Le chaud soleil de midi me faisait mal, et je commençais à suer. J'ôta ma chemise sans manche en laine et garda ma chemise principale. De nombreuse goutte de sueur parlais sur mon front. Mon nez n'étais pas suffisant pour mes poumons alors je commença à respirer grandement par la bouche. Si seulement je n'avais pas sécher mes cours de sport, je pourrais faire le trajet en jogging mais malheureusement mon corps ne pouvais pas supporter plus de cinq minute de course.
Après mainte lamentation dans ma tête, j'arrivais chez moi. Ma petite maison, semblable à celle des voisins, me semblait plus merveilleuse que jamais. J'ouvris la porte et l'air froide climatisée me donna des frisson.
Je fût surpris quand je vis ma mère dans la cuisine. Elle étais assise sur une des nombreuse chaise et me regardais avec de la pitié.
-"Chéri, pourquoi est tu rentré si tôt?"me dit-elle.
Je me gratais l'arrière de ma nuque en signe de nervosité.
-"Ils nous ont autorisée à sortir plus tôt aujourd'hui." dis-je en bégayant.
Ma mère soupira et cliqua sur le répondeur du téléphone situer à coter d'elle.
-"Bonjour, j'aimerais signalé l'absence de Marcel Edward Styles. Il ne sais pas présenté à aucun cour aujourd'hui. Plusieurs étudient mon dit l'avoir vu courir en dehors de l'édifice durant la remise des horaires. Merci de vouloir signalé son absence le plus tôt possible."
Le bip sonore signala la fin du message.
La rage montais en moi, la colère coulais dans mes veines et à cette instant j'avais trop de chose à supporté. Tout explosa.
-"Et puis quoi, criais-je, qu'est-ce que tu en as à faire?! Je n'ai pas besoin de cette bordel d'école avec tout ses stupides élèves! Ça ne fait complément rien si je manque une foutu rentré de classe!"
Je manquais d'air, j'avais crier le plus fort que je pouvais. Ma mère me regardais abasourdi. C'étais la première fois que je criais comme cela.
Après une courte pause, je regrettait le geste que j'avais fait auparavant. Je regardais ma mère avec horreur.
-"Suis-je entrain de devenir comme Harry?"dis-je apeurer.
Ma mère me fit une grand geste des bras. J'acourus vers elle et je me blotti dans ses petits bras fragiles. Doucement, elle me flattais le dos délicatement.
-"Oh Marcel, jamais tu ne fera les même geste que ton frère. "me chuchota-t-elle.
Cette phrase me rassura un instant. Je me sentais en sécurité dans ses bras. Elle était si rassurante et compatissante, elle ne méritais pas d'avoir un fils comme Harry.
-"Je déteste Harry."dis-je avec rage.
Je me détacha de ses bras. Un instant plus tard, j'entendis la petite voix à ma mère dire;
-"Se n'est pas Harry qu'il faut détesté, mais seulement son comportement. Ne déteste pas tes ennemis, tu leur apporterais trop d'attention et c'est se qu'il veulent."
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The Styles Brothers
FanfictionEmbarquer dans l'histoire de Marcel Styles. Un étudiant maltraité et constamment humilié. Sa vie changera radicalement face à une rencontre subite.