The Styles Brothers

f o u r

Le soir même, Heather vînt cogner à ma porte. Elle me donna mon horaire sans même me regarder. Je la remercia silencieusement et elle partit à l'instant même ou j'avais terminé de parler.

Elle se sentais probablement humiliée d'être devant ma maison. Mais se qui m'étonna le plus c'est que je n'avais plus cette boule au fond de ma gorge quand elle était là. Je n'avais plus de feu au creux de mon estomac. Je ne sentais plus rien vis à vis Heather Smith.

C'étais pour le mieux, je crois. Elle n'étais pas faite pour moi. Malgré le fait qu'elle était très attirante, Heather et moi n'allions pas ensemble. Avec la discussion que nous avions eu, je peut le confirmer. Nous étions trop différent. Je souhaite ne plus jamais avoir à faire avec cette fille.

Je soupirais et remonta à ma chambre. Je me déposa sur mon lit et étudia mon horaire. Je dois être près pour cette dernière année.

Après avoir étudié une petite demi heure, je tomba endormie.

Mon sommeil fût court et pénible. Plusieurs horrible cauchemar me terrifiais. Je me réveilla couvert de sueur. Ma tête tournais et je me sentais dans mon pire état. Mon lit était complément défait, ce qui est probablement causer pas mon agitation la nuit dernière. Le soleil était trop fort et les oiseaux qui chantait m'énervais. Je ne me sentais définitivement pas bien du tout.

Je pensa à la possibilité de rester chez moi, mais mon absence d'hier m'oblige à aller en cours.

Je pris une grande inspiration, remplisant mes poumons de tout l'air que je pouvais, et relâcha tranquillement. Je fais souvent cela pour me calmé. La plus part du temps, ça marche. J'espère que aujourd'hui aussi.

Ma tête me faisait affreusement mal et tout les sons ,même les plus doux, me dérangeais fortement.

Je me mit sur mes pieds et perdue équilibre. En un instant, je me retrouva par terre. J'essayais de me relever et après plusieurs efforts j'y arriva. Des fourmis traversa mes jambes et chaque pa me faisait douloureusement mal.

Enfin après quelques minutes, ma douleur au jambes se dissipa et je fus apte à pouvoir marcher correctement.

Je me dirigea vers la salle de bain. Quand j'aperçus mon reflait dans le miroirs, je m'écria. Je suis complètement affreux à regarder.

Je ne me ressemblais pas. Mes joues étais rouge et mes cheveux décoiffé. Quelques petites mèches rebel étais simplement frisé. Mes yeux étais rouge et gonflé. Sous ses derniers se trouvais des gros cernes qui tournais au bleu. Wow, je ne suis difinitivement pas à mon meilleur aujourd'hui.

Et alors? Personne ne le remarquera. Ils ne s'intéressent pas à moi de toute façon.

J'appliqua la même routine que les autres matin, cheveux, dents et vêtement.

Tranquillement, je descendus en bas pour pouvoir manger mon petit déjeuner. Quand j'arriva, la même scène qu'hier se répéta. Mon père était assis à un des nombreuse chaises de la table et ma mère prépara le déjeuner.

Quand elle se retourna pour me parler, une expression d'horreur apparu sur son visage.

-"Marcel!, s'écria-t-elle, qu'est tu arrivé?"

Du au cri de ma mère, mon père lèva son regard pour m'apercevoir. Une mine effrayé passa légèrement sur son visage mais son expression dur repris vite place.

-"Je ne sais pas honnêtement" répondis-je à ma mère.

Elle me regarda un instant, semblant analysé mes traits. Ensuite, elle détourna vite le regard à sa cuisine. L'odeur de bacon et d'œuf empli l'air bien vite. Mon ventre gargouilla et je le massa doucement pour apaiser mon appétit.

Quelques minutes plus tard, mon assiette autrement vide fus rempli au rebord. Je dévora tout en à peine dix minutes. Je fut autant étonné que mes parents, habituellement j'aurais laisser la moitiés de ce plat. Mais aujourd'hui, aucune miette ne restais. Ma mère me tendis mon repas pour ce midi et me donne un léger baiser sur le front.

Ensembles, mes parents me disent bonne journée et le mélange ne sonne pas très bien à mon goût. Ma mère toujours excitée et enthousiaste avec mon père indifférent et renfermé.

Les contraires s'assemblent.

Je partis alors à pied pour l'école. Je ne voulais pas y aller. Ma tête se rejouai en boucle l'humiliation que j'avais subit hier. Le reste du trajet se passa tranquillement malgré mon esprit en ébullition grâce à toute ses mauvaises pensées.

Je vis au loin établissement et aussitôt une boule se forma au creux de ma gorge. Je commençais à devenir anxieux. Difficilement, j'avala le peu de salive qui restais dans ma bouche sec.

Pense à autre chose. Tu te fait du mal qu'à toi même Marcel.

Mon subconscient avait bien raison cette fois-ci. Je fonça droit vers l'édifice qui me servira d'école les dix prochains mois.

En un temps record j'arriva dans la cour. Je sentais plusieurs regard sur moi mais je fit sorte à ne pas leur porter attention. La tête haute, je pénétra dans l'école et une bouffer d'air froid me relaxa. Mes muscles tendus se décontracta, me laissant faire des geste un peu plus normal.

Je me dirigea vers ma case et me félicita mentalement d'avoir appris le chiffre par coeur.

Lentement, j'organisa mon casier à l'ordre. Mes manuels placés par lettre alphabétique, par simple habitude. Certaine personne diront que j'ai un TOC mais j'aime bien le fait que je ne pourra jamais perde des choses.

Je pris mes livres et me dirigea en math, espérant que tout ira bien.

Je rentra dans la classe avec une avance de cinq minutes. Je me dirigea vers un bureau proche du professeur et plaça mes cahiers. J'espérais être seul mais un jeune homme étais placer dans le fond de la classe.

Il portais une pairs de lunette de soleil et il était tout de noir vêtu. Ses cheveux brun tombait de chaque côté de sa tête. De la fine repousse de barbe lui donnais l'allure plus âgé. Il avait une carrure d'athlète. Ses bras étaient croisée sur sa poitrine révèlent les muscles de ses biceps.

Je le fixais, essayant d'imaginer un peu sa vie. Je fus pris par surprise quand j'entendis un raclement de gorge à l'avant de la classe.

Avant même que je ne sache, tout le monde étaient arrivée dans la classe.

J'avais regardée cet mystérieux élève plus longtemps que je ne le pensais. Et tout le monde ma vu. Étonnamment, ça ne me derangais pas.

J'étais alaise avec le fait d'avoir regarder, fixer, ou même étudier un garçon devant tout le monde.