거대한 ━━━ 𝐑𝐎𝐘𝐀𝐋
iseul détenait une horrible et désagréable
aversion envers prince et figure royal. mais
comme le destin est connu pour s'amuser des humains, là voilà fiancée à l'un d'entre eux.
𝑗𝑒𝑜𝑛 𝑗𝑒𝑜𝑛𝑔𝑔𝑢𝑘...
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R o y a l ( chapitre trente-huit ) — « le temps »
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Le temps referme les blessures, avait-on dit un jour. Je déteste cette personne, qui avait réussi à créer un semblant d'espoir en moi, pour finir par l'écraser sans scrupule, le temps passant, sans refermait quelconque plaie. Depuis ce jour, des ruisseau s'écoulait de mes yeux, sans pouvoir s'arrêter. J'avais mal, affreusement mal, d'une douleur qui ne pourrait s'atténuer seulement avec le temps. J'avais l'impression d'être là sans là, mais le pire, le pire ! C'est que je ne comprenais pas pourquoi, cette accident avait réussit à me faire autant de mal. Non – en vérité, je rectifie. Je savais, mais je ne voulais pas. Je n'avais pas le droit. Après tout, qu'est-ce que je connaissais vraiment du prince ? A part cette histoire presque rocambolesque de fiançailles qui avec du recul, et de la sincérité, n'avait pas lieu d'être. Comment avait-je pu me plier à des désirs royales, qui me dépassait ?
Ah, mais suis-je bête. J'étais seule, sans plus aucun repère mise à part ma meilleure amie, désabusé, triste. Ce serait mentir que de dire que cette idée de confort, de sécurité entre ces murs luxueux ne m'avait pas attiré. Je me rebellé, depuis le début, en clamant haut et fort – ou pas vraiment – que je voulais qu'on m'accorde ma liberté. C'était culotté d'une certaine façon, après que j'ai accepté dans un sens en vivant au palais, une partie du contrat.
Ces dans ces pensées un peu plus morose, que je m'active à nettoyer les étagères du magasin, donnant un coup de main à mon amie et son père, ces derniers parties toute la journée dans une ville à côté, histoire de réapprovisionner la boutique. Heureusement – ou pas – je suis accompagnée d'une autre fille, une étrangère, qui me semble ce nommer Romane. C'est une jolie brune au yeux noisette, sympathique mais pas assez pour balayer la tristesse que je porte constamment depuis ces longs mois. Nous avons discuter, devenons de bonnes amies : Ae-Chan m'a affirmer que c'est une personne de confiance, avec qui elle c'est liés d'amitié cette dernière année... Car oui, c'est presque avec un certain effroi que j'ai compris que je vivais dans ce foutue palais depuis presque sixmois.
— Attention ! Un cri me sort de mes pensées, alors que le brunette rattrape de justesse une tasse que j'ai faillit faire tomber sur le sol.
— Je- désolé, je m'excuse d'une petite voix, la faisant rire doucement.
Elle balaye l'air de sa main, me souriant tendrement.
— Aucun problème, ça arrive d'être dans la lune quelques fois.
Je soupire, lui rendant à mon tour un rictus, un peu fébrile. Je décide ensuite de m'asseoir sur le tabouret prêt des ustensiles de cuisines, maltraitant ma lèvre.
