Présentation

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Je m'appelle Coralie Laurent.

J'étais métisse. Père antillais de la Guadeloupe, alors que ma mère était originaire de l' Italie. Vous pouvez comprendre que la famille de ma mère l'avait presque renié.

Mon père était un militaire.

L'armée avait prit le meilleur de lui, et n'était pas du tout un homme fiable en fin de compte.

J'étais une femme indépendante, c'est comme ça que je me qualifiais depuis mes quinze ans. L'âge que j'avais appris à prendre contrôle de moi-même. On ne pouvait pas être mieux servit que par soi-même en fin de compte. C'était comme ça que je le voyais. Et rien de plus.

J'avais grandit en cité.

Le luxe et la vie facile je ne connaissais pas.

J'étais dans un foyer disfonctionnel si on pouvait le dire de la sorte.

Mon père un ancien soldat revenu de la guerre, avait été complètement dépouillé émotionnellement lors de sa dernière mission. Il était complètement fou, et il n'avait rien pour lui. Il n'était plus conscient de la réalité. Perdu dans la drogue, et de l'alcool pour l'aider à tout oublier.

J'en étais complètement sur le choque. J'en avais même les larmes aux yeux rien que d'y penser en fin de compte. Un père qui a pour le devoir d'être un modèle. En fin de compte, il n'était pas un modèle. C'était un type faible. Je le voyais comme un lâche. En ce moment ma relation avec les hommes n'étaient pas du tout la même chose.

Je continue de blâmer que l'attitude de mon père restait responsable de tout. S'il avait été plus fort comme il le devait, tout aurait été différent en fin de compte.

Vivre dans un quatre et demie avec cinq autres frères et soeurs plus jeune. Me rendait aigirie. Moi qui avait tout le temps le besoin d'en avoir plus.

Depuis toute petite j'avais toujours aimé le luxe, mais ce n'était pas le cas.

Très vite j'avais compris que c'était à moi-même de me procurer ce que je voulais.

Travaillant comme hôtesse d'évènements dans une agence. Les évènements avaient plus lieu le soir, alors sans aucun doute que j'étais plus du soir.

Me rappelant que pour moi l'école c'était plus qu'un calvaire. Une obligation qui m'empêchait de faire ce que je voulais vraiment. Ce que je voulais c'était vraiment la vie. Et rien de plus en fin de compte.

Une chose que je savais c'est que ce n'est pas avec l'école que je vivrais dans le luxe. Sans hésiter je préférais me poser sur mon look. L'apparence, il n'y avait que ça en fin de compte. 

L'HISTOIRE DE CORALIEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant