14 - « Tu es parfaite. »

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OneRepublic - Love Runs Out

Venait-il vraiment de me dire ça ? Ou étais-ce les deux verres d’alcool qui avait trop engourdie mon cerveau pour me donner des hallucinations comme celles-ci ?

Mes yeux étaient maintenant ronds comme des soucoupes alors qui baladaient toujours ses mains sur mes hanches, son souffle chaud s’écrasant sur la chair de mon cou.

J’étais incapable de lui parler, ou ne serait-ce que formuler une phrases, trop choquer par ce qu’il venait de me dire.

« Dit quelque chose bébé. »

Mes joues viraient a une teinte rosée alors que je contrôlais mes émotions. Une flamme grandissait de plus en plus dans le bas de mon ventre alors que nos deux corps transpirants étaient collés l’un à l’autre.

« On est pas dans notre état normal. » avouais-je timidement.

«Je sais parfaitement ce que je fais, et je sais que toi aussi. Tu pourrais tout de même me rendre la pareille. Tu te souviens…. »

Je mordais ma lèvre inferieur involontairement alors que la scène d’Harry et moi sur mon lit en gémissant me venait en mémoire.

Il prit ma main dans la siennes, et la descendait le long de son torse pour la  poser discrètement sur son entre-jambe. Mon réflexe était e  regarder autour de nous, pour constater qu’aucun ne faisait attention à nous, trop concentrés sur la musique.

« Pas ici » dis-je en hottant ma main de sa partie intime.

Il fit un sourire en coin, avant de prendre ma main et de m’emmener à l’extérieur, le vent frais frappant ma peau brulante.

Il m’entrainait vers sa voiture, et me fis rapidement monter à l’intérieur. Mon dieu qu’est-ce-que je fais ? Dans quoi suis-je en train de m’entrainer ?

Il ne mit pas longtemps à me rejoindre dans le véhicule, démarrant rapidement, en laissant des bruits de grincements des nœuds. Je criais de surprise alors qu’il roulait à vive allure vers chez lui.

Arriver devant l’immeuble, il vint m’ouvrir la porte et me tirais pour que je descende rapidement.

Il prit soin de la verrouiller, et m’extirpait vers le bâtiment.

Celui-ci était banal. Nous arrivions vers l’ascendeur et il pressait le bouton pour appeler ce dernier. Il se remuait impatiemment et mes yeux se posèrent brusquement sur la bosse à son pantalon.

« Putain de merde » cracha-t-il en me prenant la main et m’attirant vers les escaliers en voyant que l’ascenseur ne s’ouvrait pas assez rapidement a son gout.

Il courait à pats de course et je le suivais difficilement.

Il ouvrait hâtivement la porte d’entrée avant de me tirer à l’intérieur et de refermer derrière nous. Seul la lumière des de dehors nous éclairait mais c’était assez sombre.

Il retira brusquement ma veste et la balança par terre près de la sienne.

Il scella nos lèvres et pris le bas de mes cuisses puis me soulevait alors que j’enroulais son bassin avec ma jambes. Il me plaqua contre le mur et me déposait des baisers sur le coup. Il avança dans le couloir sombre avant d’atterrir dans une pièce qui semblait être la cuisine. Il passa son bras sur la table et fis voler tout ce qui y logeait pour m'y déposer. Il m’embrassait tout en retirant ma robe.

Nos gémissements se mêlaient ensembles alors que nous enlevions les vêtements de chacun. Je pris l’ourlet de son T-Shirt, et il leva les bras en l’air pour que je puisse le retirer facilement. Je plaçai mes mains sur son torse et les glissait jusqu’à ce ceinture de pantalon. Je me battais pour retirer celle-ci.

« Putain »jurais-je en essayant tant bien que mal de déboucler sa ceinture.

Il décidait de la retirer lui même avec son pantalon en même temps.

Nous étions à présent tous les deux ensembles alors qu’il renouait mes jambes autour de son bassin.

Suis-je vraiment prête pour le faire maintenant ? Alors que je ne sais pas réellement ce que nous sommes ?

Beyoncé - XO

Il me portait et ouvrit une pièce sombre, éclairé simplement par la lumière de la pleine lune. Il me déposa sur le lit, et m’embrassa le coup.

« Harry… » Je le repoussais doucement.

Il se redressa et plongeait ses orbes dans les miens. « Je ne suis pas prête pour… Tu sais ? Je veux prendre mon temps. »

Il hochait la tête positivement. « On prendra le temps qu’il faudra. »

« Mais…. » Vais-je vraiment le dire ? Vais-je vraiment le faire ? Je le veux vraiment ? « Je veux tout de même te rendre la pareille. »

Il souriait de toutes ses dents en se laissant tomber à coter de moi. Il tapotait ses genoux, me faisant signe de venir sur lui. Je me redressais timidement avant de me mettre sur lui. Je mis mes mains sur son torse et traçait le contour de ses pectoraux du bout des doigts. Il fermait les yeux en signe de plaisir alors que je continuais de tracer des lignes transparentes sur son torse parfaitement formé.

Mes doigts arrivèrent à la bande de son caleçon. Je me mordais la lèvre inferieur alors qu’il ouvrit les yeux et me regarda. Il comprit ma gêne, il prit donc ma main dans la sienne et la glissa doucement à l’intérieur de son caleçon. Mes yeux s’écarquillaient alors qu’il enveloppait ma main autour de son sexe vraiment imposant.

Il guida le geste de ma main en faisant des vas-et-viens. Il finit par lâcher ma main et retira la sienne de son caleçon. Cela me faisait bizarre. Je prenais les commandes et le faits que ses paupières papillonnent  alors que ça bouge était entre-ouverte, laissant sa respiration haletante à porter d’ouïe, le rendait tellement vulnérable.

Je prenais ma lèvre inferieur entre mes dents alors que mon nom tombait de ses lèvres.

«Je vais… » Il n’eut pas le temps de  terminer sa phrase, que l’intérieur de son sous-vêtement devint humide.

Sa respiration était saccadé alors que son torse avait se levait et se baissait régulièrement. Ses yeux s’ouvrir et il se redressa s’appuyant sur ses coudes. Je retirais ma main de sur lui, et la sortis de son caleçon. Il posa une main sur ma joue et approcha son visage du miens. Il déposait un doux baiser sur mes lèvres, puis me retira de sur lui pur allez changer de sous-vêtement.

 « Tu es parfaite. »déclara-t-il alors que nos deux corps étaient l’un contre l’autre dans son grand lit.

 Je posais ma tête sur son torse et il me caressa les cheveux. Mes yeux se fermèrent doucement alors que Morphée m’emportait dans ses bras.

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•Premièrement, je tiens à m’excuser de mon retard.  

•Deuxièmement, je remercie pour les votes et les commentaires laisser sur mes chapitres précédents. Ça me fait vraiment plaisir.

Je vous aime.

Mad. [Harry Styles]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant