15 -« Mais... Je suis dangereux. »

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Young and Beautiful - Lana Del Rey

LUNDI 27 JUILLET

Je me fis réveiller par les rayons du soleil qui traversait la fenêtre de ma chambre. J’entendais déjà le vacarme que faisaient mes parents alors qu’il faisait leur déjeuner en bas.

Je soupirais en me forçant à me lever de mes draps et me dirigeais vers le miroir. Dee petites cernes ornait mes yeux, surement à cause de la soirée de avant-hier avec Harry.

Je posais un dernier regard de dégout au miroir et allait en bas voir mes parents et leurs bordèle. A première vue je voyais ma mère cuire des crêpes. Oh mon dieu, pas ces crêpes de la mort qui tue.

Tu les appelais comme ça à tes 8 ans.    

  Oui, c’est vrai, mais il faut l’avouer, ses crêpes son immangeable. Je peux même déchiffrer la déception sur le visage de mon père.

Je les embrassais tous les deux et me préparait rapidement un bol de céréales.

« Je dois y’aller chérie, le travail m’appelle. » dit rapidement mon père.

« Mais non voyons, prend le temps de déguster une de mes crêpes. » insista ma mère.

« Non je… suis au régimes. »

Je m’étouffais à sa phrase pathétique et continuait de manger sous son regard noir.

Après avoir échappé au crêpe de ma mère et pris ma douche, je m’habillais d’une robe d’été bustier blanc et le bas rose saumon, les deux couleurs séparé par une ceinture noire à la taille.

Je m’étalais sur mon lit et pris mon téléphone qui vibrait. Un appel. D’Harry…

: Conversation Téléphonique :

« Harry ? »

Pas de réponse. Juste un bruit d’une lourde respiration.

« Harry t’es là ? »

J’entendais des sanglots étouffés, puis il raccrocha.

**

Mes yeux s’écarquillèrent alors que je me levais d‘un bond de mon lit.

Je sortais en trombe de chez moi, et courrais le plus rapidement possible à en perdre le souffle. Je commençais à être fatiguer, et c’est à ce moment-là que je vis un vélo contre le mur. Je regardais autour de moi, et ne voyant personne, je pris le vélo et pédala comme jamais, jusqu’à l’appartement de Harry.

Je montais directement les escaliers quatre par quatre, et commençais à entendre des hurlements et des choses se briser. Je plaquai mon oreille contre la porte du logement de Harry, et entendait des choses se briser et des grognements. J’ouvris rapidement la porte, et ce que je vis me laissait sur place.

Les coussins du canapé au salon était déchiquetés, les vases brisés, et la télé était en marche. Une femme brune était à l’écran.

« Je pense que mon fils est dangereux pour son entourage. » dit-elle.

« Pourquoi ce point de vue Madame ? » questionnais le journaliste.

« Eh bien, c’est une vraie bête sauvage. Mais bon ce n’est pas de sa faute à ce p’tit monstre, c’est son père. »

Je pense que la femme qui disait d’affreuse chose aurait pu être jolie si elle aurait été coiffée, avec les yeux normaux, pas défoncés. Et avec plus d’habits. Mais malgré ses nombreux défauts je distinguais ses traits du visage… Harry…

Oh mes dieux… Un hurlement me réveillait de mes songes. J’accourais à la chambre d’Harry, et le voyait en train de frapper le mur.

« J’essayais simplement de la protégés ! Je ne suis pas une bête ! Non ! Nooon » il hurlait à en perdre les cordes vocales.

Je me précipitais vers lui et enroulais mes bras autour de sa taille.

« Harry je t’en prie ! »

Il s’arrêta brusquement, et posa ses  mais sur les miennes, toujours dos à moi, ma tête collé contre son dos, mes mains sur son torse.

« June… Tu es venue… »

« Bien sûr que je suis venue, jamais je ne te laisserais seul, jamais. »

Une goutte d’eau tombait sur ma main, et je le retournais doucement. Ses yeux étaient rouges, et sa mâchoire contractée.  

Je posais ma paume de main sur sa joue, et essuyait ses larmes.

« Pourquoi… Pourquoi reste tu près de moi. Pourquoi n’as-tu pas peur de moi ? »

« Pare que je n’ai pas à avoir peur d’un ange. De mon ange. »

Les mots tombaient tout seul de ma bouche alors que ses yeux plongeaient dans les miens.

« Mais… Je suis dangereux. »

« Non. Non, tu n’es pas dangereux, ceux qui ne te connaissent pas le disent, mais ils mentent car ils n’en savent rien. Moi je te connais, et je sais que tu es bon. »

« M- ».Il allait répliquer, mais je plaquai mes lèvres sur les siennes, salés par ses larmes, voulant finir cette conversation absurde.

June, que fais-tu ?

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Je n’aime pas ce chapitre, désolé j’aurai pu mieux faire. Je ferai mieux la prochaine fois mais je tiens à prévenir, que je pars dimanche en vacance pour toute la semaine prochaine ; donc je ne pourrais pas postés, je ne sais pas si je pourrais en faire un avant mon départ je vais essayer. Je tiens aussi à remercier les personnes qui votes et qui commentes, ça fait chaud au cœur. J’espère que ce chapitre désastreux ne vous fera pas arrêter de lire.

Mad. [Harry Styles]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant