Chapitre 6 : Les morts reviennent toujours

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J'ouvris les yeux. Je me trouvais dans une chambre d'hôpital allongé sur un lit. J'ai mal partout... Assis devant le lit Liam lisais paisiblement.

-Ton bouquin et bien frérot ? Dis-je difficilement.

-Ouais il est vraiment pas ma... Xavier ?! T'es réveillez ?!

-Faut croire... répondis-je en souriant.

Rien que sourire me faisait mal. Bordel, j'avais vraiment vidé toute mon énergie. Et j'en assumais maintenant les conséquences.

-Sa fait combien de temps que je dors ?

Mon frère c'était approché, il était maintenant à mon chevet.

-5 jours, t'es un vrai flémar toi. Dit-il avec un sourire.

-Et paf... Record de sommeil battue...

-J'aimerai bien que m'a copine sois comme la tienne. Elle est venu tout les jours pour te voir après les cours et dimanche elle est resté à ton chevet toute la journée. Une frai femme.

-Je sais, et c'est pour cela que je l'aime. Elle ne veut pas l'admettre mais elle a un immense talent. Bien supérieur au mien dans certains domaine d'ailleurs. Dis-je en m'asseyant. Sinon sa famille, comment il s'en sorte ? Le manoir à cramé, ils ont plus de maison ?

-Ne t'en fait pas, ils ont d'autre demeure dans la périphérie de la ville, toute aussi magnifique et prestigieuse que leurs ancienne.

-T'en mieux pour eux...

Je réfléchis au paroles de Auroro. Avec quelle vielle homme ils avaient fait affaires ? Et surtout pourquoi ?

J'eu une révélation. Je me leva et commença à m'habillé.

-Xavier ! Reste coucher tu ne peut pas aller quelque part dans ton état ! Me dit Liam en me prenant par le bras.

Il avait raison, j'était trop faible pour me déplacer ou je voulais comme je le ferai en temps normal.

-Alors aide moi. Dis-je en me tenant à lui. Viens on rentre à la maison.

-Toi alors...

****

Nous arrivâmes à notre demeure, je descendis immédiatement de la voiture et me dirigea lentement vers les escaliers. Je me cassa la gueule à la première marche.

-Et bas, t'es doué toi. Dit Liam en m'aidant à me relevé et à avancer.

Nous entrâmes dans la résidence. C'était l'heures du dîner, touts le monde était donc à la salle à manger. Je poussa la porte et entra dans la salle en question. Toute, la famille était réunis. A ma vue il se levèrent tous sauf mon grand père.

-Xavier ?! Qu'es que tu fais ici ?!

-Je viens juste mettre les choses au claires. Dis-je en me dirigeant vers le vieux.

J'arriva devant lui. Il continua à manger, imperturbable. Je frappa violemment la table, se qui fit renversé sont vers. Il leva lentement la tête vers moi.

-T'es de retours toi... Une fois de plus près à jouer les demeuré.

-Et toi, toujours près à demander à quel qu'un de foutre le feu à la baraque des Zoldiaque car t'as pas les couilles de le faire ! Dis-je en tapant une fois de plus le point sur la table.

Il se tût pendant quelque seconde.

-Tu ose me soupçonner d'avoir voulu tué ta copine, sa famille et toi ? Tu es malade ?

Je rigola doucement.

-Je ne te soupçonne pas, je t'accuse.

Il se leva et sortie un revolver de sa poche.

-Sale petit con !

Il ne dit pas plus car les autres membres de la famille éxecutaire exactement le même geste sauf que cette fois si c'est lui qu'ils visaient.

-Vous aussi ? Dit-il très surpris.

-Et oui papy... Tu es seul contre tous. Tire si tu veux, fait moi sauter la cervelle. Mais prépare toi à te faire descendre juste après.

Il rangeât lentement sont pistolet dans sa poche.

-Voilà... Donc va y. Je suis près à écouter t'es aveux.

-Oui c'est moi qui et engagé l'homme qui a mit le feu à la demeure Zoldiaque et alors ? Cette fille ne te posera que des soucis ! Tous comme sa famille ! Tu dois la quitter !

-Je comprend... Liam. Ton flingue.

-Hein ?! Répondis l'intéresser.

-Donne le moi.

Il me jeta l'arme. Je l'attrapa en vole et le braqua sur le vieux.

-Une dernière volonté ?

-Tu aurais du mourir sale con. Dit-il avec haine.

-Les morts reviennent toujours. Sauf pour ton cas.

Je tira. La balle atterrie en plein cœur, il mourut sur le coup.

Son sang coulais désormais sur le sol de la salle à manger. Personne ne bougea. Puis nous prirent tous un verre.

-Actes fait. Dis-je.

-Actes pardonné. Me répondirent-t-ils tous en cœur.

Nous descendîmes nos verre d'une traite. Notre serment à été fait. J'ai abattue mon grand-père et je me tien l'unique responsable. Ma famille le sais et me le pardonne.

-T'as bien fait fiston. Dit solennellement mon père. Je suis fière de toi.

-Merci père. Dis-je en regardant l'arme de tous les angles. Euh... elle est pas un peu obsolète ? Fraudais refaire notre attirail personnel non ?

-C'est vrai que nos armes commence à daté. Nous irions dans la soiré au "The Gates of Hell".

-Oh yes ! Dis-je en sautant de joie. Aller c'est ma tourné ! Je vous prend tous un truc là-bas.

Je fus acclamé pour m'a déclaration. Et nous partîmes pour notre destination.


Amour ou devoir ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant