Satan's Wife

chapitre 6

Je me réveil après la soirée agitée d'hier. Cette nuit je n'ai pas arrêtée de penser à Aaron, mais surtout à samedi et ça conneries de cours de math!

"Mais quelle con!!"me dis-je. Il pouvais pas dire tout simplement que j'allais voir une amie et que je lui avais proposer qu'il me déposer chez elle en disant que c'est sûr son chemin pour aller au travail?! Ou encore qu'il avait juste besoin de moi pour un course ou quoi ?! Moi j'ai un dictionnaire de mensonges pour cacher mes heures de colles, lui on dirait qu'il en as jamais eu, en même temps "dieu est son meilleur pote" ! Des religieux coincée du uc' j'en ai vu mais des con comme lui jamais !

Bon d'un côté je pourrai aller chaque samedi chez une amie, d'ailleurs demain c'est la soirée chez Momo !

Je rassemble mon courage pour me lever et me diriger vers l'armoire de ma chambre. Dedans il y as les habilles "normals" de gens "normaux" et quelques tenue qui sont du même style que ma tenue du dimanche pour aller à l'église. Mais quand je suis aller à des fêtes les premiers fois j'ai compris que je devais m'habiller autrement qu'avec des jupes ou des pantalons, une fois je suis même aller en survêtement, il fallait que j'ai des vêtements plus classe du genre des talons, des robes, du maquillage...
J'ai donc eu l'idée de faire un double fond dans mon armoire qui fesais la taille d'un grand tiroirs pour caché tout ces vêtements et accessoires. "Et ouai ingénieuse la petite !" Je me dis chaque fois que j'ai recours à ce grand tiroir.
Je me baisse et soulève la trappe qui donne accès au double fond et regarde ce que je peux bien mettre demain.

Mais c'est là que j'entends quelqu'un monter les escaliers. Je referme vite la trappe et me lève pour faire semblant que je cherchais de quoi m'habiller.
La porte de ma chambre s'ouvre de justesse.
Et c'est ma mère que je vois.

-romy dépèche toi tu vas rater ton bus comme hier.

-oui maman je cherche juste de quoi m'habiller dans l'armoire.

- met les mêmes vêtements qu'hier, il ne sont pas sales et puis je t'ai trouvée très belle hier.

- maman je pourrais porter un sac poubelle sur le corps tu me diras toujours que je suis belle.

- c'est vrai mais tu es toujours belle, dieux t'as si bien faite ma chérie ,dit-elle. Met comme même t'ai vêtements d'hier ma puce.

- ok maman, merci.

Ma mère est vraiment très gentil et très belle, c'est pas dieux qui me rend belle c'est elle. Et puis j'ai regardé les photos de mon père... Il était putain de canon quand il était jeune, même légèrement vieux il était beau. Fabrice un peu moins, ça passe on peut dire.
Il as pas eu une adolescence facile avec un phisique comme ça, pas qu'il était moche mais il était... Banale.

Bref, je m'habille avec mes habilles d'hier et je descends déjeuner. À la table Johnny est déjà installé sur ça chaise haute, et par miracle il n'as pas sa sucette dans sa bouche! Ce con d'Aaron a été vraiment un magicien sur ce coup. C'était toujours difficile de le lui enlever, il le fesais volontier quand il voulait manger ou parler, enfin ça dépendé pour dire quoi.

- Johnny ! Dis-je je suis toujours contente de voir mon petit frère, c'est ce petit de bientôt 3 ans qui est mon rayon de soleil.

- rooomyy! Dit-il.

Je me penche pour lui faire un gros bisous sur la joue. Et je me dirige ensuite vers le placard pour faire mon petit déjeuner parfais.

.  .  .

Dans le bus y'as pas grand monde, je ne sais pas pourquoi et ça m'intrigue. Je vois seulement un mecs de ma classe, et lui c'est pas une flèche. Le genre de dernier de la classe mais pas ceux qui sont violent, ceux qu'on se demande parfois comment il font pour être en terminale et pas en maternelle tellement qu'il sont à l'ouest en cour.
Je vois aussi quelques gens de d'autres classes que je connais moyennement. Il y as seulement un couple qui se galoche que j'ai déjà vu à une soirée et une fille, qui fais "beurette à chicha", qui est au téléphone que j'ai déjà vue en soirée aussi, d'ailleurs elle était dans un coin où il y avait une chicha, quel coïncidence.
Le bus s'arrête à mon arrêt mais il y as que moi, le dernier de la classe et la beurette qui descendons. Le couple nous regarde en rigolant depuis le bus. Il vont sécher c'est sûr et je pense que c'est l'origine de leur moqueries envers nous. On avance tous dans la même direction mais à distance des uns des autres. La beurette et sur le trottoir en face toujours au téléphone, le dernier de la classe est 8 mètres derrière moi et marche la tête en l'air entrain de révasser.
Dix minutes plus tard nous arrivons au lycée mais les porte sont fermées.
On s'approche et le dernier de la classe prend la poignée des grilles et les secouds. Mais rien. La beurette interphonne en se plaignant à son interlocuteur au téléphone, mais là aussi rien.
Et c'est là que j'ai compris !