Le verger de vénus

La ballade de la fellation

Ma mie, j'aime semer mon foutre sur vos dents

J'aime porter ma verge jusqu'à votre bouche

Et poser vos deux douces lèvres sur mon gland

C'est si divin lorsque votre langue la touche

Quand le jus s'écoule, que le poireau dégorge

Que je la sens glisser jusque dans votre gorge

Comme il est bon de maculer votre sourire

De perler sur votre peau de fille si sage

Pas même le plus beau des mots ne saurait dire

Quelle joie j'ai de vous éjaculer au visage

J'aime juter, j'aime gicler, j'aime jaillir

J'éjacule à tout va, j'éjacule à tout vent

Garnissant tous vos orifices m'accueillant

D'un flot blanc et laiteux toujours prêt à frémir

Quel plaisir de jouir en chacun de vos flans

D'étaler mon phallus en guise de pinceau

De peindre sur vos traits de ravissants nuages

Un beau clair-obscur digne de Le Caravage

Jouir sur vous comme l'on signe un beau tableau

Quelle joie j'ai de vous éjaculer au visage

J'aime sentir couler le long de mon urètre

Ce liquide blanc dont j'aime vous allaiter

Vous voir gober centimètre après centimètres

Faire des va-et-vient sans jamais arrêter

J'aime quand il dégouline de votre bouche

Qu'il coule de partout jusqu'à couvrir vos seins

Ejaculer encore en cumulant les couches

Vous en couvrir de partout du front au bassin

Etancher votre soif sans fin de mon breuvage

Quelle joie j'ai de vous éjaculer au visage

Ma mie, je ne suis pas un homme des plus sages

Et je suis même un assez grossier personnage

Je suis de loin le plus vicieux des satyres

J'ai même écrit tous ces modestes pour vous dire

Quelle joie j'ai de vous éjaculer au visage