Une main fourrée entre tes deux cuisses
Et l'autre qui te fessait à corps perdu
Alors que ton sexe crachait son jus
Tu jouissais de tous ces divers supplices
Pendant que je farfouillais avec vice
Tu suppliais pour que je continu
Et que je faufile mes doigts bienvenus
Dans chacun de tes profonds orifices
J'ai glissé mon pouce entre tes deux fesses
Et les quatre autres dans ton abricot
Pour te doigter sans la moindre retenu
Sous les va-et-vient qui n'avait de cesse
Tes deux trous ruisselaient de mille flots
Alors que je me glissais dans ton cul
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Le verger de vénus
PoesiaRecueil de poèmes érotiques à destination d'un public averti. A ne pas mettre entre toutes les mains .