La moiteur de ses mains arrache d'un seul coup
Les couches superposées de bande adhésive
Qui la gardait attachée, soumise et captive
Elle bondit et pour planter ses dents dans mon cou
Le mouton se révèle soudainement être un loup
Moi qui la croyait gentille, douce et craintive
la voilà d'un coup conquérante et agressive
Lacérant ma peau sous les assauts de son courroux
Les rôles s'inversent, me voilà sur le dos
Et mes mains sont aussitôt scotchées aux barreaux
Ma belle me fourre la bouche dans son sexe
Elle m'étouffe presque sous ses longs coups de reins
Pendant qu'elle frappe ma queue de ses deux mains
Maîtresse s'est libéré de tous ses complexes
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Le verger de vénus
PuisiRecueil de poèmes érotiques à destination d'un public averti. A ne pas mettre entre toutes les mains .