Chapitre 3

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Nous nous remîmes en route en suivant la course du soleil et arrivâmes dans les alentours de midi.

« Et maintenant ? s'impatienta Aslinn.

- Le cheval a dit : « Au sommet de la gueule du loup »...

- Mais comment est-ce possible ?...

- Réfléchis Aslinn ! Il ne peut pas s'agir d'un vrai loup !

- Il doit s'agir d'un caillou ou...

- D'une montagne ! » coupa Aldaron en désignant une énorme montagne, on aurait dit un loup avec la gueule grande ouverte.

Nous gravîmes donc la montagne.

« Quelle est la suite de l'énigme ? questionna Kusoke.

-Lorsque l'œil du ciel se fermera, traversez les sept couleurs », récitai-je en fredonnant un air, comme s'il s'agissait d'une chanson.

Nous nous tournâmes ensuite vers Anar, qui se mit à réfléchir longuement et regarda le soleil qui sombrait peu à peu derrière les montagnes.

« Mais bien sûr...L'œil du ciel n'est autre que le soleil, et il se fermera lorsque le soleil se couchera...

- Nous n'avons plus qu'à attendre que le soleil se couche ! » dit joyeusement Mérédith qui avait réussi à nous rejoindre grâce au lac qui se trouvait au sommet de la montagne.

Le soleil se coucha enfin. Un rayon vert frappa la montagne sur laquelle nous étions et jaillit ensuite un arc-en-ciel qui montait haut dans les nuages, faisant office de pont. Nous montâmes sur l'arc-en-ciel et disparûmes dans les nuages...

Arrivés au sommet de l'arc-en-ciel, nous découvrîmes enfin les portes du royaume des chevaux ailés

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Arrivés au sommet de l'arc-en-ciel, nous découvrîmes enfin les portes du royaume des chevaux ailés...

La Malédiction des MondesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant