Le rideau s'ouvre, la comédie commence
D'une énième tardive lueur d'automne
Une valse aux airs doucereux, sans importance
Avant qu'un rayon sentimental ne boutonne.Je ne pus distinguer, aveuglément perché
Sur le chevalet vertigineusement bas,
Obnubilé par ma fresque inachevée,
Les appels de phares, innombrables appas.Elle me tournoyait autour, la forcenée
D'une danse, danse, qui lui permit de luir
Le regard d'une incessante frivolité
Qui disait "Je ne vais pas vraiment te nuire!"Une arlequinade, mascarade insensée
Un anodin pétale de Chrysanthème,
Dont la véracité reste à questionner,
Que la faucheuse éparpille et sème.