chapitre 17

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Elle le fixa pour voir si c’était vraiment lui, mais il n’y avait aucun doute

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Elle le fixa pour voir si c’était vraiment lui, mais il n’y avait aucun doute. Quand elle reprit ses esprits, elle s’empressa de monter dans l’avion rejoindre son amant. Une fois à sa place à côté de lui elle soupira de soulagement.

- Ça va mon cœur ? On dirait que tu as vu en revenant.

- C’est le cas.

L’Irlandais compris tout de suite et se crispa. Un frisson parcourut tout le dos de la belle, elle serra très fort sa main.

- Il ne viendra pas, il n’a jamais quitté la France ce n’est pas maintenant qu'il va le faire.

À l’entendre de ces paroles, il se détendit.

- On va pouvoir se détendre maintenant. J’ai hâte de revoir mes parents.

- Et moi de les rencontrer.

Le beau brun sourit et embrassa sa belle. Leurs vacances pouvaient commencer.

                  Quelques heures plus tard…

L’avion venait d'atterrir à l’aéroport de Dublin. Une fois descendu de l’avion et récupéré leurs bagages, ils sortirent de l’aéroport où les parents de l’Irlandais les attendaient avec impatience. Quand ils arrivèrent à leur hauteur, la mère de Fergal se jetta dans ses bras.

- Mon fils ! Tu m’as tellement manqué.

Elle le couvrit  de bisous.

- Maman, arrête c’est gênant.

Il regarda sa belle qui rigolait devant la gêne de celui-ci. Elle le lâcha et s’approcha de la française.

- Alors c’est toi Amélie ? Celle qui rend mon fils si heureux ?

- Oui, je suis heureuse de vous rencontrer Madame.

- Appelle-moi Léonie et tutoie-moi, tu fais partie de la famille maintenant.

La jeune femme sourit et l’Irlandais lui fit  une chaleureuse accolade. Le trio se dirigea devant la voiture ou le père de l’Irlandais les attendaient.

- Ta mère n’a pas pu se retenir, il fallait qu’elle te saute dessus. Dit-il en rigolant.

Il prit son fils dans ses bras, puis se présenta à la jeune femme.

- Tu dois être Amélie, je suis Fitan , enchanté de te rencontrer.

Il a pris également dans ses bras.

- Moi de même. Merci à vous de me recevoir.

- Merci à toi de rendre mon fils heureux et tu peux me tutoyer aussi.

Elle se contenta de sourire. Son amant passa un bras autour de ses hanches et embrassa son front.

- On y va les enfants ? Dit Léonie.

Après avoir chargé les bagages dans la voiture, ils partirent pour Bray où le brun habitait  étant jeune. Ils arrivèrent à l’heure du dîner, ils déchargèrent la voiture puis les deux tourtereaux montèrent dans l’ancienne chambre de l’Irlandais.

- Ah oui, je vois que pour toi, le catch c’est plus qu’une passion.

En effet, les murs étaient remplis de posters de catcheur, mais également de photos de Fergal. Sous le lit de celui-ci se trouver des montagnes de magazine, tous portant sur le catch.

- Oui, c’est vrai que j’y ai été fort.

Ils rigolèrent , puis tout en rangeant leurs affaires ils parlèrent tous les deux.

- Alors comment trouves-tu mes parents ?

- Ils sont géniaux. Ils sont super chaleureux, je les adore.

- Et aussi ils t’adorent déjà.

- Comment tu peux le savoir, je viens juste de les rencontrer.

- Parce qu’ils t’ont dit de les appeler par leur prénom et ma mère t’a aussi dit que tu faisais partie de la famille. Je connais mes parents ils disent rarement ça à quelqu’un qu'ils viennent de rencontrer.

- Alors il ne faut pas que je les déçoivent.

- Ne t’inquiète pas. Je t’aime tellement.

- Moi aussi je t’aime très fort.

Il l'embrassa amoureusement puis ils descendirent dîner.

- Alors, raconte-nous tout Amélie. Demanda Léonie.

- Tout, comment ça ?

- Tout, ce que tu as fait comme études, pourquoi tu es devenue pâtissière, je veux tout savoir.

- D’accord. Alors déjà, c’était pas prévu la pâtisserie, j’ai fait des études de commerce avant mais après j’ai du mal à trouver du travail. Je m’ennuyais toute seule chez moi alors j’ai commencé à faire de la pâtisserie, je regardais déjà beaucoup d’émissions sur le sujet et ça m’a permis de me lancer. Au fil du temps c’est devenu une passion alors j’ai repris mes études, j’ai passé mon CAP et mon BTM ce qui m’a permis d’ouvrir ma boutique à Los Angeles.

- Oui d’ailleurs, Fergal nous a dit que ta boutique avait pris feu, je suis vraiment désolé. Dit Fintan.

- Ce n’est pas grave. Maintenant je travaille à la WWE et j’ai pu apprendre à connaître Fergal. Dans mon malheur j’ai trouvé mon bonheur.

Elle regarda amoureusement son amant qui lui sourit en retour.

- C’est vraiment mignon. Dit Léonie. Amélie, tu veux bien m’aider pour le dessert ?

- Avec plaisir !

Les deux femmes s’en allèrent alors dans la cuisine, laissant les deux hommes seuls.

- Alors qu’est-ce que tu penses d’Amélie ?

- Mon fils, je n’ai qu’une chose à dire. C’est la bonne celle-là, crois-moi.

- J’en suis sûr papa.

- Elle est super, un petit rayon de soleil et quand je vois comment elle te regarde, je me dis qu’elle est fait pour toi. Prends soin d’elle, marie la, et fais-moi des petits-enfants.

- On en est pas encore là, mais je te promets de prendre soin de ta future belle-fille.

Ils sourirent tous les deux quand  Amélie et Léonie arrivèrent avec le dessert.

- Waouh ! Tu t’es dépassé maman.

- Normal, j’accueille une grande pâtissière, il faut que je fasse bonne impression. Il faut bien qu’elle  découvre les Pâtisseries irlandaise.

- C’est vraiment gentil Léonie, j’ai hâte de goûter.

- Alors, ce gâteau c’est un Irish cream bundt cake. C’est un pudding aux noix de pécan avec une sauce au Bailey’s.

- Tu vas voir mon amour, tu vas te régaler.

Ils commencèrent  à manger quand la belle dit.

- C’est super bon, c’est léger, c’est… j’en perds mes mots. Léonie, il va me falloir la recette.

L’intéressé sourit, heureuse que la jeune femme apprécie sa cuisine.

- Je te la donnerai avec grand plaisir.

- Sinon, demanda le père. Qu'est-ce que vous avez prévu demain ?

- J’ai prévu d’emmener Amélie en promenade à Bray Head  après je sais pas trop je vais lui faire visiter la ville.

- C’est une bonne idée. Dis la mère. C’est vraiment magnifique là-bas. C’est l’endroit parfait pour une demande en mariage.

Elle fit un clin d’œil à son fils tandis que le jeune couple la considérait avec de grands yeux. La jeune femme commença à rougir.

- Pas trop vite maman, ça fait que quelques mois qu’on est ensemble. On en a déjà parlé mais c’est trop tôt.

- Je sais mais dépêchez-vous quand même.

Alors que les amoureux se regardèrent, le père de l’Irlandais éclata de rire devant leurs réactions.

- Laisse-les prendre leur temps chérie.

- Merci papa.

- Tu veux que je t’aide à débarrasser la table Léonie ?

- Si tu veux, merci.

Pendant que les deux femmes débarrassèrent la table, Fergal dit à son père.

- Ça y est maman en 2h à m'a grillé et mon plan.

- Tu allais demander Amélie en mariage ?

- Non pas maintenant mais j’aurais aimé faire ma demande là-bas plus tard.

- Tu as encore le temps fiston, et il y a plein d’autres endroits magnifiques Wincklow  où tu pourras faire ta demande.

- Oui c’est vrai.

- En tout cas, je suis fier de toi, tu as trouvé une femme exceptionnelle. Je suis heureux pour vous et je vous souhaite que du bonheur.

- Merci papa.

Il prit son fils dans ses bras, les larmes aux yeux.
Pendant ce temps-là dans la cuisine, Léonie et Amélie préparer le café tout en discutant.

- Je vais te dire Amélie, je n’ai pas vu Fergal aussi heureux qu’avec toi.

- C’est vrai ? Il me rends tellement heureuse aussi. Je l’aime énormément.

- Et ça se voit dans tes yeux. Lui aussi d’ailleurs, il t’aime beaucoup.

- En tout cas merci encore de m’accueillir chez vous, vous êtes vraiment un couple chaleureux et j’aimerais que ma relation avec Fergal se passe aussi bien que votre mariage.

- Je n’en ai aucun doute ma chérie.

Elle sourit et elles revinrent avec le café pendant que les deux hommes parler de foot.

- Ah la la, c’est de là, dès qu’il se voit, c’est le foot. Elle rigola.

La belle se rassit à côté de son amant. Il déposa délicatement sa main sur la cuisse de celle-ci et lui déposer un baiser.

- Regarde chéri, ils sont trop beaux, je vais pleurer.

- Oh non maman s’il te plaît.

Il se leva et la prit dans ses bras.

- Je t’aime mon fils.

- Moi aussi je t’aime maman.

Le reste de la soirée passe à très vite. Léonie avait montré des photos de Fergal enfant à Amélie et lui avais raconté des anecdotes sur son fils. À la fin de la soirée, les deux amoureux souhaitèrent bonne nuit à leur hôte et montèrent se coucher.

Le lendemain matin, après avoir pris un bon petit déjeuner, le couple se rendre à la Bray Head. Le sommet de la montagne leur offrait une magnifique vue sur l’océan.

- C’est vraiment magnifique ici. La vue est extraordinaire. Dis la belle.

- Oui, je venais souvent ici pour réfléchir et me ressourcer.

- D’ailleurs, tu ne m’as pas dit où est-ce qu’on allait après.

- Normal, parce que c'est une surprise.

- Tu es tellement romantique mon amour, tu es le meilleur petit ami qu’une femme puisse rêver d’avoir.

- Et toi alors ? Je suis le plus chanceux au monde de t’avoir à mes côtés.

Il attira sa dulcinée vers lui et l’embrassa passionnément.
Le jour commençait déjà à tomber quand ils rentrèrent chez les Devitt. Ils passèrent la soirée à discuter et rigoler avec Léonie et Fintan puis allèrent se coucher.

                       Une semaine plus tard…

L’heure du départ était déjà arrivée. Après une semaine passée à visiter Bray  et ses magnifiques paysages, il était temps de dire au revoir à Léonie et Fintan et de s’envoler pour un nouveau pays.

- Vous allez me manquer les enfants, prenez soin de vous et revenez vite nous voir.

Léonie serra son fils et sa belle dans ses bras.

- Merci d’être venue nous rendre visite et à bientôt. Dit Fintan en faisant de même.

Ils montèrent dans l’avion tout en faisant un signe de la main au deux irlandais. Une fois assis, Amélie regarda à son amant et dit.

- Alors, où va-t-on maintenant ?

- Santorini bébé.

- En Grèce ! c’est tellement beau là-bas, tu me gâtes de trop mon amour.

Après plusieurs heures de vol, les voilà arrivés en Grèce. Cette ville avec les maisons blanches et bleues, la mer turquoise. C’est le paradis. Ils s’empressèrent de défaire leurs valises et partir à la découverte de la ville.

La semaine en Grèce passa assez vite, rythmée par des visites dans la ville et les découvertes culinaires, le couple n’a pas vu le temps passer. Mais il était déjà temps de rentrer pour Seattle où les prochains shows allaient se  dérouler.
Après une demi-journée passée dans l’avion, ils arrivèrent à l’hôtel. Une fois leurs bagages défait, La Belle décida d’aller voir Colby. Sûrement le seul qui ne devait pas encore dormir à cette heure tardive. Elle frappa donc à sa porte de chambre qui se trouvait presque en face de la sienne. Mais ce ne fut pas Colby qui lui ouvrit mais une jeune femme blonde avec des mèches roses et des yeux bleus persans.

- Salut, tu es Amélie c’est ça ? Très bon tes gâteaux.

- Salut, oui c’est moi et tu es ?

- Alexis.

- Enchanté et désolé de t’avoir dérangé, j’ai dû me tromper de chambre. En fait je cherche Colby.

- Ah non tu ne t’ai pas trompé de chambre c’est bien la sienne. Il est à la douche tu veux que je l’appelle ?

La jeune femme sentit son cœur se briser, pièce par pièce.

- Non, ça ira, je le verrai demain, bonne nuit.

- Bonne nuit.

Elle ferma la porte devant la française complètement anéantie et à la moitié du cœur brisé.

Elle ferma la porte devant la française complètement anéantie et à la moitié du cœur brisé

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⏰ Dernière mise à jour : May 21, 2018 ⏰

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