Mes pensées sont des fleuves d'images.

Virus.

Tu n'es qu'un virus, tu ne mérites pas de vivre. Tu es comme un cancer, tu rentres dans nos vies seulement pour les détruire, tu nous bouffes et nous ronges pour nous faire crever de l'intérieur. Tu devrais t'étouffer lentement avec ta fierté de merde.  Je veux que tu souffres comme tu m'as fait souffrir, je ne veux pas louper ça. Un jour tu vas comprendre tout le mal que tu m'as fait bâtard. Et puis comme tous les autres, tu parles de cul comme si baiser était ton combat et le nombre de fille avec qui tu vas le faire ta récompense et ta ridicule victoire personnelle, tu n'es qu'un gros chien qui pense qu'au sexe plutôt. Tu manipules les gens comme s'il étaient des jouets, et moi, je fus qu'un de tes nombreux pantins, je regrette de t'avoir donné de l'attention, de t'avoir donné tout ce que tu voulais et par dessus tout d'avoir été gentille avec toi, alors qu'en fait tu t'es juste servi de moi, seulement et uniquement par intérêt. Je ne suis pas une victime sale connard, je te déteste. Je veux que tu dégages de ma vie, toi avec ta stupide voix et ton hypocrisie, mais malheureusement je dois voir ta sale gueule tous les jours dans ce foutu lycée. 

Désolé pour la violence de ce texte, j'avais besoin d'écrire...