Le jeune démagogue

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C'est à travers la légende d'une carte unique, vers la douzième parallèle non loin de l'atlantique, que j'ai croisé malgré le climat chaud et sec ton amour si glamour caractérisé par la rigueur hivernale et la chaleur estivale.

Depuis Lucie à nos jours l'amour bat son plein même dans les colonies, raison pour laquelle quand je t'aperçois, t'appelles, te vois, mon cœur exulte de joie.

L'amour est par essence violence, forteresse mais aussi immense richesse dans un monde intelligible ou sensible à chaque fois que je pense en penseur à toi. Ma chère, tu sais bien que la racine de mon cœur divisé par le tien dépasse un siècle lumière.

Tu sais aussi que sa limite vers plus l'infini est non seulement paire mais se perd au sein du cercle circonscrit de ma vie. C'est donc sous cette macédoine de sensations, de passions, que j'étale ma façon de t'aimer, de t'adorer, de te chérir et de te magnifier, toi cette rose que j'arrose d'amour chaque jour, cerises que je cueille tour à tour.

Laisse-moi être ton serviteur fidèle, t'aimer et te rester pareil au commencement signe de mon réveil jusqu'à mon sommeil éternel.

Oh mon Dieu si cette fleur se fane à l'heure, si jamais je la perdais de vue, je m'en irais en flamme mon âme et en larmes mon cœur au pôle nord à la rencontre de l'ange de la mort.

Chère Léontine, soit ma Valentine, femme divine, et non ce mythe qui irrite ma lyre, car si je ne peux comme Christophe Colomb le long des océans conquérir ton amour je me suiciderais comme Hitler preuve de mon échec.

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