C'était donc ça ? L'amour est un piège, et j'étais tombé dedans. Jouer un rôle c'était tous ce que j'ai toujours su faire, et avec Yanûs, j'étais prête à tous pour qu'il tombe dans mes bras, quel échec !
Mon père, c'était mon modèle, c'était plus un maître qu'un père, il m'avait tout appris, et je ne devais pas échouer aussi lamentablement, never. C'était donc pour ça que j'avais dévoilé mes sentiments aussi vite, tout était calculé.
Si je faisais croire à Yanûs que je l'aimais, il allait se mettre en tête qu'il avait réussit son coup, et quoi de plus pour poignarder un perdant qui croyait gagner ?
Je regardais Yanûs, on était main dans la main dans un centre commercial à L.A. On avait décidé d'avoir de petites vacances à deux en tant que nouveau couple, un mois j'aimerai préciser, cela faisait un mois qu'on était en couple. C'était la joie, la joie des first month. Comme tout nouveau couple, mon « petit copain » m'avait fait plaisir en m'offrant un voyage, un hôtel, et sa carte bancaire, de quoi le ruiner d'un seul coup.
— namour ?
Yanûs — oui ?
— je peux te poser une question ? Dis-je souriante.
Yanûs — bien sûr bébé, dit moi.
— tu casa es mi casa ?
Yanûs — et en français ça donne ? Dit-il en réfléchissant.
— ce qui est à toi et à moi ?
Yanûs — bien sûr que non.
À l'entente de début de sa phrase j'étais déjà toute sourire, mais comme on dit : Dreams are night. Je m'étais donc contenté d'en rire et de rentré dans la voiture côté passagère.
Mon regard était plongé sur Yanûs, mon seul but, mon seul objectif était de le faire tombé amoureux de moi, mais c'était moi qui était en train de flancher. Yanûs, était un homme, un homme gentil, charmant, et mature. Et j'aimais être avec lui, j'aimais passer mon temps libre avec lui, et ce voyage, je ne le sentais pas du tout.
On était arrivé à notre hôtel, j'avais pris ma douche et j'attendais Yanûs. J'étais habillé d'une petite robe rose pâle, et j'avais attaché mes cheveux en queue-de-cheval. J'étais assise sur un fauteuil quand des mains froides se posèrent sur ma poitrine.
— tu m'as fait peur ! Sursautai-je.
Yanûs — tu as une grosse poitrine, j'aime bien. Sourit-il.
— pervers va !
Il rigola et s'en alla dans la salle de bain, encore. Il était revenu deux minutes après, habillait que d'un short. Mes yeux ne quittaient pas son torse, j'étais comme hypnotisé et il l'avait remarqué. Il déposa sa main sur mon menton et releva ma tête doucement.
Yanûs — je ne veux pas te faire de mal. Me dit-il.
— je te veux, ce soir, et encore d'autres jours.
Nos yeux ne se quittaient pas, il déposa ses lèvres contre les miennes et me porta ensuite pour me déposer sur notre lit. Il était sur moi, il me faisait des bisous sur ma tempe et qu'est ce que j'aimais ça. Il avait enlevé ma robe et me faisait de petits bisous de ma poitrine à ma partie intime.
Il se contenta d'enlever ma petite culotte puis me jeta un petit regard avant de me faire un cunnilingus.
[...]
La nuit était caliente, j'ignorais que Jasmine était aussi violente. On avait couché ensemble et elle était toute fatiguée ce matin quand je l'avais laisser à l'hôtel. J'étais sortit prendre l'air quelques minutes.
— bonjour, pourrais-je avoir un café et un jus d'orange s'il vous plaît ?
La serveuse me regardais d'une manière trop vulgaire, je n'aimais pas ça du tout. Je regardais son badge et c'était écrit Kamelia, je baisse alors le regard mais je fus surpris lorsqu'elle tenta de m'aborder.
Kamelia — tu es mignon, tu veux passer chez moi ce soir ?
— je suis marié, et je vous prie de me vouvoyer, nous ne somme pas des amis.
J'étais assez surpris mais la surprise n'était pas finit, elle se pencha vers mon oreille et me chuchota doucement :
Kamelia — on peut être plus que des amis.
Mon regard était plongé sur sa poitrine, mais je n'étais pas enchanté de sa proposition. En effet, je ne voulais pas, je quitte alors la réception avec mes commandes et m'en alla dans la chambre. Mais dès que mon pied passa la porte, je tombe nez à nez sur Jasmine.
Jasmine — alors c'était bien avec la serveuse ?
— qu'est ce que tu racontes ?
Jasmine — ne fait pas l'innocent Yanûs je vous ai vu j'étais parti à ta recherche et je t'ai vu avec elle !
— mais il n'y a rien entre elle et moi, regarde je suis là avec toi non ?
Jasmine — tu mens ! Dit le que tu la veux ! Dit le maintenant que je sache ce que je dois faire !
Je posa les boissons sur la table et me dirigeais dangereusement vers elle. Elle me rendais fou, Jasmine tu me rends fou.
— je lui es dit que j'étais marié c'est bon ? Elle ne m'attire pas Jasmine cesse s'il te plaît.
Jasmine — tu mens Yanûs ! Vous étiez bien collé arrête de me mentir merde j'ai tout vu !
Je posa ma main sur le bas de son dos et la colla à moi. Je soupire d'agacement et posa mes lèvre sur son cou.
— c'est toi que je veux Jasmine, que toi.
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As salam alaykûm,
Je ne demande pas la lune, juste un petit vote à la fin de votre lecture. Sa fait toujours plaisir.
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Agnès - Jusqu'à la haine [II]
General FictionTerminer. Quand les histoires du passé surgissent dans la vie présente, que risque le futur ? Agnès ma fille, qu'en est-il de ton choix ? L'amour ou la haine ?