Vendredi 13 juillet, à ce jour, Zina Rodriguez avait quitté la terre. Ma mère était morte et enterrée, Rachid était un monstres et moi les monstres je les tue, a partir du moment où ils ont osés toucher à la famille.
On venait de rentrer, on était silencieux. On passe la porte de la maison et on tombe nez à nez sur Jared et Jasmine.
Jared — ça va bébé ?
Agnès s'était contenté de hocher la tête de gauche à droite, c'est-à-dire, négativement. Jared s'approcha donc d'elle pour la regarder dan les yeux.
Jared — porqué ?
Agnès — mama est parti..
Jared — ah bon ? Pourtant elle m'a dit qu'elle sera toujours là.
Dit-il en pointant son doigt au niveau du coeur d'Agnès, et ensuite en me regardant il le pointa au niveau de mon coeur. Il avait raison, maman était parti, son corps n'était plus avec nous mais son amour lui, il était fidèle au poste. L'amour d'une mère demeure éternel.
Je suis secouer dans tous les sens par une petite main, sûrement me réveillant de mes pensées. J'abaisse mon regard sur Jasmine puis après l'avoir analysé, je déposa mes lèvres sur son front.
Elle souriait toute timide puis me prit la main timidement et me donna une arme, sans la regarder mais en la touchant, j'avais su que c'était une arme. Jared faisait de même avec Agnès, on était tous les quatre armés.
Jasmine — personne ne quitte cette arme.
Jared — et personne n'hésite à l'utiliser.
Je regardais l'arme noir que j'avais en ma possession, on allait très bien s'amuser alors. Agnès prit une chaise et posa ses fesses dessus.
Agnès — qué ? Papa Rachid a déclaré la guerre ?
Jared — sí. Et il ne s'arrêtera pas, tant que vous ne serez pas au cimetière et lui en buvant du vin rouge à vos funérailles.
— qui a dit qu'il sera invité ? Dis-je sourire en coin.
Jasmine — tu me fais un bébé ? Me dit-elle dans l'oreille.
— ton père nous poursuit, veut notre mort, et tu pense à être enceinte ? Elle est folle y'a pas autre explication.
Jasmine explosa de rire, c'est ça que j'aime. On est poursuivit, des gens surveillaient nos faits et gestes, prêts à nous tuer mais elle, elle s'en battait royalement les couilles. Elle monta les escaliers et arriver en haut elle me regarda :
Jasmine — du coup je t'attends dans la chambre.
Jared — nique ta mère enfaite, ton frère est juste là et tu oses dire ça à un garçon devant lui ?
Jasmine — ouais, exactement t'as bien résumé et bien compris la scène.
Dit-elle avant de s'en allait dans la chambre, je laisse mon rire résonner dans la pièce, et monta à mon tour.
— du coup vous allez rentrer ?
Jared — je ne sais p-
Agnès — ouais !
Je fis un dernier bisou à ma soeur et serra la main de Jared qui ne manqua de me menacé à propos de sa petite sœur. Et il finirent par s'en allait. Je montais les escaliers et découvrît Jasmine en sous-vêtements. Elle se précipita de mettre l'essuie atour d'elle dès qu'elle m'avait vu.
Jasmine — mais prévient quand tu es là, dit-elle toute rouge.
— j'ai déjà toucher, lécher, et pénétrer ta fleur intime alors, en la regardant de haut en bas, ta pudeur de merde, pas avec moi.
Jasmine — mais la gêne tu ne connais pas ?
Je m'approcha d'elle rapidement et déposa ma main sur son fessier, pas de geste brusque. Je continuais en caressant sa poitrine despacito, pas de gestes brusque. Je descendis ma main toujours despacito au niveau de sa fleur et elle frissonna puis déposa ses lèvres sur les miennes.
Eh mercé.
[...]
Et ouais le temps passe, on était à présent en février, le 14 février. Je crois que nous connaissions tous cette fameuse date, autant importante pour certains couples que pour tous les célibataires.
Un petit matin comme les autres, j'étais dans la cuisine tout sourire en préparant le petit déjeuné quand je sens une présence derrière moi et une arme se chargé.
— qui êtes vous ?
L'arme émit un coup de feu, et wAllah j'ai cru que c'était moi qui a été touché. Je me retourna voyant Jasmine avec une arme et un homme à terre, baignant dans son sang. J'arque un sourcil et prit l'arme de ce pauvre homme.
Jasmine — je te présente Karim, un homme de mon père, enfin... je te présente son cadavre.
— comment est-il entré ?
Jasmine — je n'en sais rien, mais ce dont je suis sûr c'est qu'il n'y a pas que lui. Et je t'avais dit qu'où que tu pars, ton arme doit être avec toi. Et si je n'étais pas descendue chercher mon téléphone ? Tu serais où là maintenant ?
— sûrement à la morgue..
Jasmine — sans blague, comme punition, tu vas m'enlever ce vieux porc de cette cuisine.
— oui madame. Dis-je en levant ma main.
Jasmine — puta madré ! Jared et Agnès, ils ont dû recevoir une visite inattendu eux aussi !
Je pris mon téléphone et appela sur le téléphone d'Agnès qui décroche de suite.
— vous avez survécu ?
Agnès — on est à l'hôpital.
— ¿ QUÉ ? Porqué ?
Agnès — Jared est dans les soins intensifs.
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As salam alaykûm,
Alors à ce jour nous avons : 16 000 vues, 1446 votes et 106 commentaires sur le tome I, c'est énorme pour moi et ça ne cesse pas d'augmenter.
Un grand merci à vous de lire mes histoires et de les voter.Et le prix Nobel des meilleurs lectrices est attribué (roulements de tambours), (sourire Colgate), aux wattpadiennes !!!!
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Agnès - Jusqu'à la haine [II]
Ficción GeneralTerminer. Quand les histoires du passé surgissent dans la vie présente, que risque le futur ? Agnès ma fille, qu'en est-il de ton choix ? L'amour ou la haine ?