Agnès - Jusqu'à la haine [II]

.11.

On était à l'aéroport, ma soeur et « son mari » nous attendait dehors. J'étais assez excité de rencontrer ce Jared et c'est eux que j'aperçus en premier lors de notre sortie. Je m'avançais vers Agnès pour la prendre dans mes bras et Jasmine faisait pareil avec son frère. Puis le retournement de situation.

— alors c'est toi qui te tape ma soeur ?

Jared — et c'est toi qui te tape la mienne ?

Je souris face à cette phrase et me retourna pour regarder Agnès.

— je l'aime bien.

J'étais rester sur mon opinion, Agnès n'allait pas apprécier Jasmine mais je fus très surpris lorsque dans la voiture on entendait que leurs échanges, et leurs chants parceque oui, les deux dames avait les mêmes goûts musicaux. Donc on roulait avec du DjaDja qui venait de débuté.

Totalement le contraire avec moi et Jared, on ne se parlait pas mais on était tous deux agaçaient par les gestes des deux femmes.

Jared — mais c'est bon là vous vous êtes cru sur musically ?

— je te jure, fermez là un peu.

Agnès — look Jasmine, ils ont cru on allait arrêter pour eux.

Jasmine — pauvres petit choux, subissez et laissez nous.

Cette dernière phrase s'était accompagné d'un tape dans la main entre elles, bon, j'aurai préféré qu'elles se haïssent. J'avais tenter une approche pour stopper la musique mais ma mission avait été un pur échec. A peine avais-je toucher le téléphone que j'avais vite retirer ma main.

Jasmine — ose toucher ce téléphone et je vais oser te jeter hors de cette voiture.

Agnès — *rires* je suis morte, ta copine je l'adore putain. T'es un soumis mon frère !

Ma petite copine avait prit la confiance et j'aimais ça, elle était un peu plus à l'aise et c'était parfait.

On était arrivé chez ma soeur dix minutes plus tard et j'avais reçu un message de ma mère me disant que je devais me rendre à la mairie ainsi accompagné de ma soeur. Très bizarrement, Jasmine et son frère avait reçu le même message venant de leur père, très très bizarre. Je ne savais pas ce que ma mère préparait mais ça n'allait pas être bon du tout.

On s'était mis en route vers les deux heures plus tard, après un bon repos mérité. J'étais surpris par Jared qui commençait à me parler.

Jared — alors Yanûs, il faut bien que ma soeur traîne avec un bon gars. Tu l'aimes ?

— et toi, tu aimes Agnès ?

Jared — c'est à ta mère que je dirais ça, c'est elle qui donnera son consentement. Mais en revanche c'est moi qui devra donné mon consentement pour vous deux.

— oui je l'aime. Dis-je avec un sourire en coin.

Jared — j'espère que c'est vrai.

On était arrivé devant la grande mairie. Je descendais en souriant et me mis à faire le tour de la voiture pour être à côté de Jasmine. Croyait le ou pas, à nous quatre on avait un flow, on marchait en ligne bien habillés tout frais — cette scène méritait d'être jouer en ralentit — on entra dans la mairie pour y voir ma mère en robe blanche très classe j'aimerai ajouter.

Agnès — maman ?

Jared ; Jasmine — papa ?

J'étais le seul qui était resté silencieux face à ce cirque. Ma mère en robe de marié face à Rachid devant le maire, cette phrase n'a aucun sens, elle devrait être interdite. Je fixais ma mère qui me fit un clin d'œil superbe. Ça allait commencé : Notre vengeance allait commencé.

[...]

Ça y est, ma mère était marié pour la toute première fois, eh bien oui j'ai été conçu hors mariage. On était chez nous, je ne vous explique pas l'horreur ; j'étais en couple avec ma demi-sœur et pareil pour Agnès qui était en couple avec son demi-frère.

WESH je parlais de ça dans le plus grand des calmes comme si c'était normal. Je demande à parler avec ma mère en privé et elle me l'accorda.

— à quoi tu joues ?

Mama — ce n'est pas un jeu, c'est notre chance.

— attend, tu comptes le tuer ?

Mama — pas maintenant, avant ça, il faut s'amuser un peu.

RACHID BAKARI

J'avais atteint mon but. Tout allait commencer et j'étais déterminé.

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A salam alaykûm,
Cette partie est très, voir trop courte  je l'avoue. Je suis en vacance et qu'est ce qu'on fait pendant les vacances les gars ? Eh oui, on s'ennuie à mort ! T'es fou toi, genre t'as cru j'allais dire on fait la fête mdr, vas-y toi j'ai un mari, et en plus je suis mineur encore, bruh.
À après-demain pour une suite plus longue mes sœurs, qu'Allah vous protège.