Je succombe à cette tension dévastatrice, m'empare de ses lèvres.Son contact brûlant régnant sur mes cicatrices, sur mes plaies ouvertes.
Je m'abandonne à ces conneries,
Le corps sali.
Fièvre et ardeur entremêlées.
Le reste d'alcool, un doliprane et m'voilà crevée.
J'ose tromper celle qui m'est la plus belle,
Pour celui qui voit en moi,
un objet, à peine.
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artistic məss
PoesíaJ'voulais juste ça #294 catégorie poésie 14.08.18/ 04.10.18 #304 catégorie poésie 3.07.18 #406 catégorie poésie 8.06.18 #107 #depression #4 : 10.1018 #insomnie