Freak (VF) // H.Styles

Quinze

PDV de Kenna

« Ahem » le policier parla à moi et Harry, nous séparant.

Les yeux d'Harry se dirigèrent vers l'homme.

« Harry ? » dit l'homme. Comment le connaît-il ?

« Papa ? » Oh. C'est ainsi. Wow.

« Attendez, quoi ? » dis-je, abasourdi.

« Wow, fils. Tu as une belle prise. » Gloussa l’homme.

Les yeux d'Harry devinrent sombre et l'expression de son visage en colère.

« Pourquoi, tu voudrais la toucher ? » Grogna Harry en se levant.

« Harry. » murmurai-je.

« J'étais juste-» commença le policier qui était apparemment le père de Harry.

« Ferme ta putain de gueule.»

« Harry. » Je tirai son bras pour l'asseoir à côté de moi de nouveau.

« Ahh. Ne soit pas en colère, fils. Elle doit être un bon coup ! » Dit-il, me faisant haleter.

« Vous êtes malade ! » Hurlai-je, le faisant rire.

Harry semblait sur le point d'exploser. Il respirait lourdement et ses yeux se rétrécirent.

 « Elle n'est pas seulement le coup d’un soir. » la mâchoire d'Harry se serra.

« Oh, elle est  plus que ça, hein ? Alors peut-être, celle de deux soirs ? » rit le père de Harry.

Harry se leva et poussa son père contre le mur, « Tu ne sais rien ! » Cria-t-il.

« Harry arrête! » Dis-je. Il soupira.

« Ouais, Harry. Fait ce qu'elle te dit sinon tu ne pourras plus la baiser. » Dit l'homme et Harry lui donna un coup de poing.

« Ferme. Ta . Putain. De. Gueule. »

« Harry, s'il te plaît. » le suppliai-je.

　

Harry s'assit sur le banc et je frottai son dos. Le père d'Harry se racla la gorge, « Hmm, bien. Est-ce que tu payes la caution ? »

« Oui. » Harry me tira plus près de lui.

« Argent ? » L'homme disposa sa main.

Harry saisit son portefeuille de sa poche et lui tendit l'argent.

« Je te rembourserai chaque centime. » Chuchotai-je à l'oreille de Harry.

Harry secoua la tête, « C'est bon, bébé. »

« Non. Je vais te rembourser. Fin de la discussion. » dis-je. Je suis fatiguée de lui faire dépenser de l'argent pour moi et de ne pas le rembourser.

Harry secoua la tête de nouveau, mais ne dit rien.

« Okay. Eh bien, vous êtes libres de partir. Je t’appellerai peut-être plus tard. » L'homme fit un clin d'œil.