CHRONIQUE DE CLITORINE: TUÉE, NOYÉE, DÉCOUPÉE PUIS MANGÉE!!!!!!!! (et kidnappée)

OMG !!! Epilogue touchant aux rebondissements epiques

Pdv de Clitorine

Soudain, tout s'arrêta

Je regarde et voit

Que

Bob meurt

Vaccina meurt

Alyalama meurt

Jean Kevin meurt

MoniquetteBFF meurt

Viktim meurt

Acheter meurt

Les 4 tepus meurent

Tout le lycée meurt (attention ! ceci est une métonymie ! car elle désigne un élément complexe par un seul de ses composants. Ici elle désigne tous les élèves du lycée par le lycée, car ce n'est pas le lycée qui meurt, mais les élèves du lycée ...enfin... je m'emporte sans doute...)

Tout le monde meurt

Sauf moi

Je vis

En fait

C'est moi

Qui les a fait mourir...

J'arrête donc la caméra, c'est bon, j'ai toutes les scènes. Je range le précieux outil dans une malle et range la malle dans le cadavre de Moniquette, que j'enfouis également dans le cadavre de Acheter, on ne sait jamais assez bien cacher une chose. Je ressent un pincement au cœur en voyant les corps morts, mais c'était ainsi, ils auraient servis aux besoins du film. Et puis, ce n'est pas comme si ils était de vrais acteurs. En vérité, tout les gens ayant joué dans le film n'existaient pas avant, ils ont été élevés dans des laboratoires comme des légumes, justes pour ce film. Après, ils mourraient.

Ce film est l'adaptation d'une chronique WattPad extrêmement connue et populaire: «Chronique de Clitorine», j'en suis le personnage principal. Mais sans doute vous demanderiez vous pourquoi ne suis je pas mortes comme Bob, Vaccina et le reste ? Pourquoi ai je eu une vie avant le tournage ? Tout simplement parce que cette chronique, c'est moi qui l'ait écrite, et pas @subjectif, qui j'ai manipulée de l'esprit juste pour que cette chronique soit lue. J'étais donc considérée comme un personnage fictif.

J'ai fait croire aux caméras que j'étais fabriquée juste pour les droits du film, ils ont crus. Pendant le tournage, je n'ai rien tenté. Mais vous demanderiez vous sûrement: quel est mon but ? Eh bien je les ai filmés. Tous. Pendant le tournage. Et j'en fais un documentaire: «Lamentables courte vie des acteurs et actrices maltraités et élevés uniquement pour les besoins d'un film», j'ai absolument toutes les scènes, même quand les personnages étaient encore dans les laboratoires. Ce documentaire, je le sortirai un jour après la sortie du film, et cela fera scandale à souhait. Les réalisateurs auraient des poursuites judiciaires, et moi je serai reconnue comme héroïne, à ce moment là j'écrirai une autobiographie de mon brillant parcours de vie qui serait sûrement adapté en film.

Enfin bref, ce qui importe en ce moment, c'est que je rapporte la pellicule de la caméra en sûreté jusqu'à un endroit sûr. Je tourne à un couloir, j'entends des pas ! Si quelqu'un me voit traîner une malle à l'intérieur d'un cadavre qui est lui même à l'intérieur d'un autre cadavre, cela risque d'être suspect ! Surtout que je suis sensée d'être morte aussi !

Soudain, apparaît au détour du couloir, devant moi, une CRÉATURE.

-Qui êtes vous ? m'écrie je.

-Je suis... LA CRÉATION, répond t il/elle.

é je mourray, LOL.

FIN.

(nda: c la fin, dsl)