chapitre 5: un exemple perdu à jamais

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( Hana 👆 et la chanson )

Je regarde la main et relevé le regard vers le bras, puis le torse et enfin la tête.

Moi: - Grand-père ?!

Grand-père : - Pourquoi veux tu faire ça ?

Moi: -Il t'a tué... Je dois te venger...

Grand-père: - j'ai envie que tu me venge moi?

Moi: -Le veux tu?

Grand-père : -Non.

Je le regarde un moment et baisse les yeux vers ma main tenant fermement le poignard. Je me lève et sort une corde d'une armoire. Je ligote Gabriel et l'accroche à un clou sur l'extérieur de ma porte. Puis je sort de ma chambre par la fenêtre, après avoir pris mes écouteurs. Je grimpe sur le toit du château. Les larmes au yeux, je m'assié sur les toiles qui recouvre le toit du château. Je colle mes écouteurs dans mes oreilles et lance la musique, avant de mettre ma tête sur mes genoux. Une chanson triste défile, ( NDA: voir au dessus) je sens une larme coulé le long de ma joue...puis une autre... Et je craque. Je n'avais pas pleuré quand il était parti. J'étais en colère et je lui en voulais. Je m'étais sentie abandonné et je me suis enfermé dans une boucle Infernal de colère. J'avais oublié tout mes sentiments. Plus personne n'avait compté pour moi... Jusqu'à lui... Et Jusqu'à Yann... Et je l'ai perdu aussi... Je les ai tous perdu... J'étais seul... Complètement seul...

???: -Pourquoi pleure tu mon enfant ?

Je relève mon regard en séchant mes larmes qui embrume ma vision. Une ombre au trait de mon grand-père viens s'assoir à côté de moi. Je ne répond pas et fixe l'horizon. Cette horizon que je n'ai jamais été voir... Je n'avais jamais quitté le château. Je n'avais pas le droit... Pourtant je n'avais jamais autant voulu visité cette endroit inconnu.

Moi: -Comment c'est dehors?

Grand-père : -C'est dangereusement magnifique. Mais pour vivre là-bas, il faut être fort je ne l'ai pas été.

Je me tais et me perd dans l'immensité verte qui s'offre à moi. Je soupire d'épuisement... Un flash surgit dans mon esprit

Flashback :

Cinq flèches se trouve à côté de la cible. Je regarde mon arc et souffle de désespoir.

Moi: -Je n'y arriverait jamais...

Grand-père: -Olympe, viens avec moi... Je fais te montré quelque chose.

J'agrippe de ma petite main de fillette sa grande main. Il me conduit à ma chambre et ouvre la fenêtre. Il me demande de m'accroché à son dos. Il sorti à l'air libre, il escalade les plusieurs mètres qui nous sépare du toit. Une fois en haut, il me dépose au sol. Je regarde autours de moi émerveillé. C'est magnifique.

Grand-père: -Que voit tu ?

Moi: -de l'herbe, le ciel, des arbres , plein de choses.

Grand-père: -Je ne vois pas ça moi. Regarde plus loin, plus profondément en toi.

Moi: -Un ligne entre le ciel et la terre comme ... Si on pourrait les séparé...

Grand-père: -...D'une seul flèche... Cette ligne s'appelle l'horizon. Un archer vois cette cible avant de tiré comme si on pouvais tout faire. L'horizon est notre cible.

Moi: -Pourquoi vouloir séparé quelque chose de si beau ?

Grand-père: - Car la vie est faite ainsi. Ce qui est beau est rarement de longue durée... Mon enfant, cette endroit est mon sanctuaire, je veux que ce soit le tien aussi maintenant.

Je hoche la tête affirmativement. Nous descendîmes et partont rejoindre les autres mains dans la mains. Au réfectoire, une ambiance pesante réside. Ma grand-mère était en larme, mon père avait les poings serrés, ma mère avait mon frère, Amadeo, dans les bras. Celio, lui, consolait ma grand-mère. Mon parrain avait le poignard de mon grand-père, celui avec le cœur en main. Je m'aggrippe plus fermement à mon ancêtre. Il me regarde désolé. J'observe plus attentivement mon jumeau. Ma mère avait du sang sur les mains. Amadeo avait l'air conscient mais du sang coulait de sa jambe. Mon parrain donne la lame qu'il avait en main à son propriétaire et je me rendis compte qu'elle était remplie de sang.

Père: -Pourquoi lui avoir fait ça?

Grand-père: -Cette histoire ne regarde que moi et lui.

Père: -Tu ne va pas pouvoir resté. Tu es bânis de notre famille.

Je regarde mon grand-père avec des yeux ronds de surprise. Mon cerveau fit le lien entre les événements. Mon parain , l'oncle de mes frère, vient m'écarté de mon vieux. Je me débat, je crie, je hurle... Une douleurs me pris dans le cœur. Je me remplis de colère. Je me retrouve enfermé dans ma chambre à hurlé, hurlé toute ma colère mais rien n'y change. Je n'arrivais pas à arrêté la douleurs atroces de mon cœur...

Fin du flashback

J'avais 7ans, ce jour-là. J'avais tellement eu mal que j'avais plus arrêté les entraînements et j'étais devenu Olympe Kanaka, le scorpion au regard de faucon. Le scorpion, à cause, de mes mots blessant, piquant et de mes yeux inexpressif et regard de faucon car je ne ratais plus aucune de mes cibles.

Grand-père: tu m'en veux pas vrai?

Moi: -Non, je ne t'en veux pas mais je ne comprend pas. Tu m'as abandonné, je suis toute seul... J'ai perdu le goût de la vie...

Grand-père: -Je vais te donné un dernier conseil avant de partir. Écoute moi bien. Quand tu aura un sentiment de vide en toi, pense à ça : ai-je été utile à quelqu'un, ma vie m'a telle servie, ai-je été réellement heureuse? Si la réponse est négative alors continue de vivre et surtout exprime ce que tu ressens. Si tu gardes tout pour toi, tu risque de t'enfermé encore  plus dans la solitude. Pour finir, va dans mon bureau cette nuit, tu trouveras un cadeau que je voulais te faire quand tu aurais 16 ans.

L'ombre s'élève dans les airs et commence à disparaître.

Moi: -Non ne part pas! Pas encore ne m'abandonne pas encore... Grand-père NONNNN!!! Criait-je

Grand-père: -Je t'aime, mon enfant...

"Moi aussi" chuchotai-je les larmes au yeux. Je l'avais encore perdu... Je descendit dans ma chambre, secoué de sursaut de tristesse. Je pris l'arme de mon ancêtre et la sert contre moi. Les larmes coulé de nouveau librement sur mes joues. Je tombe à genoux... J'étais minable de pleuré ainsi... La porte s'ouvrit, je ne redresse même pas le regard pour regardé le nouveau venu. Deux bras viennent m'encerclé. Je regarde Alexandre qui affiche un air inquiet sincère. Ma lèvre tremble toute seul. Je me presse plus contre lui, et pleure en silence dans ces bras. Je ne voulais plus vivre j'avais trop mal... Pourtant les bras d'Alexandre me rassurait... Je finit par m'endormir... À bout de force...

Tu m'es interdit...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant