chapitre 7: une matinée mouvementée

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(Elioz 👆)

Je fixe Amadeo. Mon expression ne transmet aucun émotions.

Moi: -Tu n'as rien à faire ici, Amadeo. Et relâche mon second.

Amadeo: -Je vais te raconter ce qui nous a amené à cette situation...

Je m'assié sur appuis de fenêtre et prend une pomme que je n'avais pas mangé hier.

Amadeo: -Tu fais quoi?

Moi: -Je te connais, tu vas prendre trois heures pour tout raconté alors je me pose tranquillement. D'ailleurs laisse Alexandre, il va avoir une crampe comme ça.

Amadeo : -Petite peste...

Moi: -Merci, ça me touche maintenant commence ton histoire avant que je ne m'endorme.

Il me regarde méchamment et comme son récit

Amadeo: -Elioz est venu me voir pour les vêtements que tu lui avait demandé. Je lui ai dit que j'allais te l'apporter moi même. Je suis arrivé ici et bizarrement la porte était verrouillé. Je n'ai pas essayé de rentré et je suis parti à ta recherche.

Moi: - si elle était verrouillé tu n'aurais pas pu rentré...

Amadeo: -Laisse moi finir avant de faire tes commentaires. Donc je suis parti à ta recherche et j'ai croisé une fille au style gothique et l'autre à mes pieds. Il m'ont dit que t'étais partie. Alors j'ai envoyé la fille dans sa chambre et l'autre est venu avec moi. Je me suis dit que j'allais gardé ton second en otage comme ce tu me diras ce que je veux savoir. Comme où tu étais partie et ou tu as eu ton arc ?

Je regarde mon frère, et souffle d'épuisement.

Moi: -Fait ce que tu veux de lui. Je ne te dirais rien. Mais n'oublie pas la lois si tu ne veux pas finir comme grand-père.

Amadeo: -Tu sais que la règle ne compte que pour les blessures graves, je peux le mutilé, je ne suis pas en dehors de la lois.

Moi: -Je sais

Alexandre me regarde interloqué. Il allait m'en vouloir de le laisser comme ça. Je tourne le dos et me rapproche de mes flèches que je déplace dans mon nouveau carquois. Je sens une lame sortir de son étuis. Je me retourne rapidement et tire une flèche dans le poignet de mon jumeau. Il lâche son armes. Amadeo jure et commence à s'approché de moi menaçant.

Amadeo: -Tu m'as dit de faire ce que je voulais de lui et que tu ne dirais rien. Pourquoi tu es intervenue alors?

Moi: -Je n'ai rien dit j'ai fait. Ensuite l'autre comme tu dis est mon second. C'est normal que je le protége. Maintenant, retourne près du tien avant que je m'énerve vraiment.

Amadeo: - Si je ne veux pas?

Je ne répond rien. Je sort juste un poignard de sa poche. Il ne recule pas au début. Alors je pointe l'arme vers son talon d'Achille, sa jambe. Il peste et sort de la chambre en déblatérant sur le fait qu'il trouverais ce que je cachais. Il s'était mit en tête que je leurs cachais des choses. Pourtant j'étais en règle avec ça. Il m'était déjà arrivé de sortir la nuit mais juste pour prendre l'air. Enfin bon, Amadeo était paranoïaque. J'enlève tout mes armes, mes bottes et ma veste. Je m'étire longuement.

Alexandre : -J'ai cru que tu allais me laisser là...

Je ne dit rien et part dans la salle de bain. Je me poste devant le miroir. Mon visage aurait dû être couvert de bleu. Seulement ma grand mère avait réussi à tout effacé. Je ne sais d'ailleurs pas comment elle a pu faire. J'enlève mon croc top et admire les tatouages qui était sur mes clavicules. Sur la droite, le mot "dead" était écrit en lettre gothique, sur la gauche, toujours avec le même style, le mot "angel". (NDA: imaginé le tatouage avec juste le mot)

Tu m'es interdit...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant