Parce que vos effluves imprègnent chaque seconde qui se craquèle
Parce qu'avec vous je découvre le manque
Parce que vos prunelles sont le bain de ma chaleur
Parce que vous avez la couleur d'une étoile
Parce que sans vos bras les dialogues n'ont plus de sens
Parce que j'ai su soliloquer pour vous
Parce que mes pas sont tracés de votre chaleur
Je fleuve des mots aimants à la nuit tombée
Sur un parquet qui semble des arbres aplatis
Dans le murmure de l'orage